Remerciant l’association ALAM-NDJAM, le directeur de l’école des sinistrés de Walia Gardolet, Golbagui Daguidi explique que l’école des sinistrés dont il est le directeur est un bar-dacing que le propriétaire a accordé pour encadrer les enfants.
L’école prend en compte 416 élèves répartis dans deux classes de CP1 et CP2, une classe de CE1, une classe de CE2, et une classe de CM1/CM2. Neuf enseignants volontaires sinistrés assurent les cours. Ils sont tous des instituteurs, y compris le directeur.
Pour Golbagui Daguidi, c’est la toute première aide qu’il ont reçu depuis leur sinistre. Il précise qu’ils ont eu cette volonté d’aider les enfants car au vu de la situation, ils ne peuvent pas rester les bras croisés.
La présidente fondatrice de l’ALAM-NDJAM, Asma Gassim, indique que l'association a été créée pour unir les tchadiens et leur transmettre les valeurs historiques et le bon vivre-ensemble.
Elle ajoute que l'ALAM-NDJAM ne peut rester indifférent face à la situation que traversent les sinistrés. Elle promet de plaider auprès des bonnes volontés pour davantage d'appui.
La transformation du bar-dancing en école a été rendue possible grâce à Yangué Beti Djaou, dans l'objectif de soutenir l'éducation des enfants.
L’école prend en compte 416 élèves répartis dans deux classes de CP1 et CP2, une classe de CE1, une classe de CE2, et une classe de CM1/CM2. Neuf enseignants volontaires sinistrés assurent les cours. Ils sont tous des instituteurs, y compris le directeur.
Pour Golbagui Daguidi, c’est la toute première aide qu’il ont reçu depuis leur sinistre. Il précise qu’ils ont eu cette volonté d’aider les enfants car au vu de la situation, ils ne peuvent pas rester les bras croisés.
La présidente fondatrice de l’ALAM-NDJAM, Asma Gassim, indique que l'association a été créée pour unir les tchadiens et leur transmettre les valeurs historiques et le bon vivre-ensemble.
Elle ajoute que l'ALAM-NDJAM ne peut rester indifférent face à la situation que traversent les sinistrés. Elle promet de plaider auprès des bonnes volontés pour davantage d'appui.
La transformation du bar-dancing en école a été rendue possible grâce à Yangué Beti Djaou, dans l'objectif de soutenir l'éducation des enfants.