L'Association pour la Réinsertion des Enfants et la Défense des Droits de l'Homme (ARED) a organisé ce mercredi 15 février 2023 à Pala une rencontre de concertation et de plaidoyer avec les autorités traditionnelles et coutumières, administratives, judiciaires et le personnel de la chaîne de production.
L'objectif de cet échange est de développer une complémentarité, une synergie et une concertation multiacteurs en faveur de l'application de la Loi 12 portant lutte contre la traite des personnes en République du Tchad.
Le coordinateur général de l'ARED, Madjiyera Ngar Alkoa, a rendu un vibrant hommage aux défenseurs des droits humains. Il a déploré la traite, l'esclavage, l'enrôlement de force des communautés non servies dans la traite et des pratiques féodales qui prennent de l'envol avec de nombreuses conséquences auxquelles le gouvernement ne s'intéresse pas.
Pour lui, la province du Mayo Kebbi Ouest, comme d'autres provinces du pays, fait face à des conflits intercommunautaires dans la zone de Gagal et au crime organisé à Léo dans la zone de Gaya, aux vols de bétail et aux braquages de motos, aux vols à main armée, à l'accaparement des terres, à la traite des personnes, avec comme corollaire le phénomène de déportations vers d'autres contrées ou pays et l'enlèvement de personnes contre rançons.
Selon le coordinateur général de l'ARED Madjiyera Ngar Alkoa, cette traite des personnes organisée dans la province remet en cause la dignité humaine, mais aussi et surtout la démocratisation et l'état de droit au Tchad.
La traite a été abolie dans les années 1848, mais malheureusement, ces pratiques vassales restent toujours d'actualité dans notre pays et au 21e siècle, et prennent de l'ampleur sans que des efforts considérables ne soient envisagés pour leur éradication, souligne-t-il.
Le gouverneur de la province du Mayo Kebbi Ouest, le général Idriss GAAD Abdraman, qui a ouvert les travaux de cette rencontre, déclare que le gouvernement soutient les organisations qui défendent les droits humains. Il félicite et demande à l'ARED de continuer dans cet élan pour la bonne cause des enfants, car cela va contribuer à la réussite de la politique de l'État.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du projet "Soutenir les Droits des Enfants Marginalisés sous le Gouvernement de Transition".
L'objectif de cet échange est de développer une complémentarité, une synergie et une concertation multiacteurs en faveur de l'application de la Loi 12 portant lutte contre la traite des personnes en République du Tchad.
Le coordinateur général de l'ARED, Madjiyera Ngar Alkoa, a rendu un vibrant hommage aux défenseurs des droits humains. Il a déploré la traite, l'esclavage, l'enrôlement de force des communautés non servies dans la traite et des pratiques féodales qui prennent de l'envol avec de nombreuses conséquences auxquelles le gouvernement ne s'intéresse pas.
Pour lui, la province du Mayo Kebbi Ouest, comme d'autres provinces du pays, fait face à des conflits intercommunautaires dans la zone de Gagal et au crime organisé à Léo dans la zone de Gaya, aux vols de bétail et aux braquages de motos, aux vols à main armée, à l'accaparement des terres, à la traite des personnes, avec comme corollaire le phénomène de déportations vers d'autres contrées ou pays et l'enlèvement de personnes contre rançons.
Selon le coordinateur général de l'ARED Madjiyera Ngar Alkoa, cette traite des personnes organisée dans la province remet en cause la dignité humaine, mais aussi et surtout la démocratisation et l'état de droit au Tchad.
La traite a été abolie dans les années 1848, mais malheureusement, ces pratiques vassales restent toujours d'actualité dans notre pays et au 21e siècle, et prennent de l'ampleur sans que des efforts considérables ne soient envisagés pour leur éradication, souligne-t-il.
Le gouverneur de la province du Mayo Kebbi Ouest, le général Idriss GAAD Abdraman, qui a ouvert les travaux de cette rencontre, déclare que le gouvernement soutient les organisations qui défendent les droits humains. Il félicite et demande à l'ARED de continuer dans cet élan pour la bonne cause des enfants, car cela va contribuer à la réussite de la politique de l'État.
Cette rencontre s'inscrit dans le cadre du projet "Soutenir les Droits des Enfants Marginalisés sous le Gouvernement de Transition".