L'Institut tchadien de recherche agronomique pour le développement (ITRAD), en coopération avec le Centre ouest et centre africain pour la recherche et développement agricole (CORAF), organise un atelier régional de réflexion sur la création d'un Centre national de spécialisation du blé au Tchad (CNS), du 07 au 08 décembre à Ndjamena.
Cet atelier est organisé dans le cadre de la mise sur pied du Programme de résilience des systèmes alimentaires (PRSA) en Afrique de l’Ouest et au Sahel, financé par la Banque mondiale. En effet, le Tchad a identifié trois chaînes de valeurs prioritaires, parmi lesquelles le blé.
Ainsi, le pays a mobilisé des ressources autour de l'ITRAD, pour la mise en place d'un CNS du blé, avec l'appui du CORAF. L'objectif de cet atelier est de réunir les acteurs de la chaîne de valeur blé, afin de réfléchir ensemble pour poser les jalons de ce Centre, et engager le processus de sa mise en place. Il s'agit aussi de faire l'état des lieux de la recherche sur la chaîne de valeur blé, et partager les expériences des autres pays ayant mis en place le CNS, a indiqué Dr Djondang Koye, représentant du directeur général de l'ITRAD.
Le représentant a rappelé que le choix du Tchad pour abriter ce Centre national de spécialisation sur le blé, n'est pas fortuit. Jadis, le Tchad, à travers ses polders du Lac, fut parmi les rares pays en Afrique de l’Ouest et du Centre, à produire et transformer le blé pour la consommation de toute l'Afrique centrale et quelques pays européens.
Objectivement, le CNS construit une synergie d'actions des institutions nationales et internationales, sur cette thématique pour une recherche d'excellence afin de développer une chaîne de valeur, et réduire la dépendance des Etats vis-à-vis des importations.
De façon générale, le Programme de résilience du système alimentaire (PRSA) est un programme d'investissement régional phare visant à renforcer la résilience du système alimentaire en Afrique de l'Ouest, par une régionale stratégique.
Les axes principaux concernent trois domaines thématiques : les services de conseil numérique pour la prévention et la gestion des crises agricoles et alimentaires ; la durabilité et la capacité d'adaptation de la base productive du système alimentaire ; et enfin, l’intégration du marché et le commerce.
Cet atelier est organisé dans le cadre de la mise sur pied du Programme de résilience des systèmes alimentaires (PRSA) en Afrique de l’Ouest et au Sahel, financé par la Banque mondiale. En effet, le Tchad a identifié trois chaînes de valeurs prioritaires, parmi lesquelles le blé.
Ainsi, le pays a mobilisé des ressources autour de l'ITRAD, pour la mise en place d'un CNS du blé, avec l'appui du CORAF. L'objectif de cet atelier est de réunir les acteurs de la chaîne de valeur blé, afin de réfléchir ensemble pour poser les jalons de ce Centre, et engager le processus de sa mise en place. Il s'agit aussi de faire l'état des lieux de la recherche sur la chaîne de valeur blé, et partager les expériences des autres pays ayant mis en place le CNS, a indiqué Dr Djondang Koye, représentant du directeur général de l'ITRAD.
Le représentant a rappelé que le choix du Tchad pour abriter ce Centre national de spécialisation sur le blé, n'est pas fortuit. Jadis, le Tchad, à travers ses polders du Lac, fut parmi les rares pays en Afrique de l’Ouest et du Centre, à produire et transformer le blé pour la consommation de toute l'Afrique centrale et quelques pays européens.
Objectivement, le CNS construit une synergie d'actions des institutions nationales et internationales, sur cette thématique pour une recherche d'excellence afin de développer une chaîne de valeur, et réduire la dépendance des Etats vis-à-vis des importations.
De façon générale, le Programme de résilience du système alimentaire (PRSA) est un programme d'investissement régional phare visant à renforcer la résilience du système alimentaire en Afrique de l'Ouest, par une régionale stratégique.
Les axes principaux concernent trois domaines thématiques : les services de conseil numérique pour la prévention et la gestion des crises agricoles et alimentaires ; la durabilité et la capacité d'adaptation de la base productive du système alimentaire ; et enfin, l’intégration du marché et le commerce.