Dans un pays où le taux de chômage en milieu urbain est très élevé, et où le manque crucial d'unités de production n'est pas à démontrer, la question sur le système éducatif technique et professionnel doit être sur la table de débat. Malheureusement, combien sont-ils, les candidats qui composent le concours d'entrée dans les écoles techniques ? Combien sont-ils, les candidats en série technique ?
Des interrogations qui nécessitent plus de réflexions que de réponses. En tout cas, tout a été presque dit : 3% des candidats en série technique et 17 200 candidats pour le concours d'entrée dans les écoles techniques et professionnelles.
Ces chiffres montrent à suffisance le manque d'engouement des élèves pour les établissements techniques et professionnels. Une situation très préoccupante, mais les autorités de l'éducation semblent ne rien constater.
Pourtant, ces institutions d'enseignement des métiers sont de véritables leviers dans le développement socioéconomique et dans la lutte contre le chômage, face aux exigences du marché de l'emploi.
En fait, elles préparent les jeunes aux défis du monde professionnel, surtout en ce qui concerne l'exigence de main-d'œuvre qualifiée pour des travaux techniques. Mais force est de constater que, dans un pays qui produit chaque année des milliers de jeunes diplômés sans emploi, l'école des métiers est en cul-de-sac.
Contrairement à l'enseignement général, qui offre des formations théoriques aux apprenants. Mais à qui la faute ? Pourquoi ce désintérêt pour l'enseignement technique ? Tout est une question d'orientation et d'organisation. Les autorités de l'enseignement doivent se rendre à l'évidence, face à cette problématique qui touche l'intérêt du pays. On ne doit pas, chaque année, former des jeunes sans répondre à la demande du marché.
Aujourd'hui, plus que jamais, la question des unités de transformation des ressources est d'actualité. Pourtant, le Tchad demeure un grand consommateur de produits importés. Ce qui fragilise l'économie nationale. L'heure est au diagnostic des écoles techniques et professionnelles.
Des interrogations qui nécessitent plus de réflexions que de réponses. En tout cas, tout a été presque dit : 3% des candidats en série technique et 17 200 candidats pour le concours d'entrée dans les écoles techniques et professionnelles.
Ces chiffres montrent à suffisance le manque d'engouement des élèves pour les établissements techniques et professionnels. Une situation très préoccupante, mais les autorités de l'éducation semblent ne rien constater.
Pourtant, ces institutions d'enseignement des métiers sont de véritables leviers dans le développement socioéconomique et dans la lutte contre le chômage, face aux exigences du marché de l'emploi.
En fait, elles préparent les jeunes aux défis du monde professionnel, surtout en ce qui concerne l'exigence de main-d'œuvre qualifiée pour des travaux techniques. Mais force est de constater que, dans un pays qui produit chaque année des milliers de jeunes diplômés sans emploi, l'école des métiers est en cul-de-sac.
Contrairement à l'enseignement général, qui offre des formations théoriques aux apprenants. Mais à qui la faute ? Pourquoi ce désintérêt pour l'enseignement technique ? Tout est une question d'orientation et d'organisation. Les autorités de l'enseignement doivent se rendre à l'évidence, face à cette problématique qui touche l'intérêt du pays. On ne doit pas, chaque année, former des jeunes sans répondre à la demande du marché.
Aujourd'hui, plus que jamais, la question des unités de transformation des ressources est d'actualité. Pourtant, le Tchad demeure un grand consommateur de produits importés. Ce qui fragilise l'économie nationale. L'heure est au diagnostic des écoles techniques et professionnelles.