
Dans le cadre du renforcement des médias, la Commission Nationale des Droits de l'Homme du Tchad (CNDH) a lancé un atelier de formation des acteurs des médias, sur les droits de l'homme et la lutte contre la désinformation, ainsi que les discours de haine, ce 05 mai 2025 à la Maison des médias.
S’agissant du renforcement des capacités techniques et opérationnelles de la CNDH, pour contribuer à la promotion et la protection des droits de l'homme et de la lutte contre la désinformation, ainsi que les discours de haine, le président de l’UJT Abbass Mahamout Tahir a affirmé que ce thème mondial interpelle profondément, à l'heure où l'intelligence artificielle transforme les modes de production et de diffusion de l'information.
Il a indiqué que si elle offre des opportunités, l’IA présente également des risques en matière de manipulation algorithmique, de désinformation automatisée et de marginalisation des voix indépendantes. Selon lui, cela rend encore plus urgente la nécessité de promouvoir un journalisme éthique, rigoureux et centré sur les droits humains.
Belngar Larmé Jacques, président de la CNDH a affirmé que la liberté de la presse que certains journalistes brandissent pour se disculper, a ses limites. Par ailleurs, il ne peut y avoir de liberté de la presse sans respect des droits d'autrui.
Il a souligné que la désinformation et l'invitation à la haine, constituent des violations des droits de l'homme en ce sens qu’elles entravent l'accès d'une part, à l'information juste, fiable, vérifiée et basée sur des faits réels, et d'autre part, elles sont sources de division, de conflits, de violence l'intolérance et d'exclusion.
S’agissant du renforcement des capacités techniques et opérationnelles de la CNDH, pour contribuer à la promotion et la protection des droits de l'homme et de la lutte contre la désinformation, ainsi que les discours de haine, le président de l’UJT Abbass Mahamout Tahir a affirmé que ce thème mondial interpelle profondément, à l'heure où l'intelligence artificielle transforme les modes de production et de diffusion de l'information.
Il a indiqué que si elle offre des opportunités, l’IA présente également des risques en matière de manipulation algorithmique, de désinformation automatisée et de marginalisation des voix indépendantes. Selon lui, cela rend encore plus urgente la nécessité de promouvoir un journalisme éthique, rigoureux et centré sur les droits humains.
Belngar Larmé Jacques, président de la CNDH a affirmé que la liberté de la presse que certains journalistes brandissent pour se disculper, a ses limites. Par ailleurs, il ne peut y avoir de liberté de la presse sans respect des droits d'autrui.
Il a souligné que la désinformation et l'invitation à la haine, constituent des violations des droits de l'homme en ce sens qu’elles entravent l'accès d'une part, à l'information juste, fiable, vérifiée et basée sur des faits réels, et d'autre part, elles sont sources de division, de conflits, de violence l'intolérance et d'exclusion.