Ces jeunes, exploités pendant six ans dans un village situé près de Ngouri, avaient été recrutés sous de faux prétextes, avec la promesse d’un emploi à Massaguette. Suite à une demande d’aide de leurs parents, les autorités ont été alertées.
Le président de la CNDH, M. Belmgar Larmé Jacques, a indiqué qu’il s’agit d’un phénomène malheureusement courant. Grâce aux enquêtes menées par le ministère de la Sécurité et à l’engagement du ministère de la Justice dans le processus judiciaire, les victimes ont pu être localisées.
Selon les précisions fournies, ils étaient quatre au départ. L’un est malheureusement décédé, un autre a été hospitalisé à Abéché après être retourné à N’Djamena en raison de problèmes de santé. Les deux derniers ont continué à être exploités jusqu’à leur récente libération par les services de sécurité et les services spéciaux. Ils ont depuis été remis à leurs familles.
Le président de la CNDH, M. Belmgar Larmé Jacques, a indiqué qu’il s’agit d’un phénomène malheureusement courant. Grâce aux enquêtes menées par le ministère de la Sécurité et à l’engagement du ministère de la Justice dans le processus judiciaire, les victimes ont pu être localisées.
Selon les précisions fournies, ils étaient quatre au départ. L’un est malheureusement décédé, un autre a été hospitalisé à Abéché après être retourné à N’Djamena en raison de problèmes de santé. Les deux derniers ont continué à être exploités jusqu’à leur récente libération par les services de sécurité et les services spéciaux. Ils ont depuis été remis à leurs familles.