Élève au Lycée de Goudji centre, âgé de 20 ans environ, Hisseine Abdoulaye Mahamat Idriss a vu sa main droite amputée après avoir été admis à l'hôpital de l'amitié Tchad-Chine où il reçoit encore des soins à la charge de sa famille.
La CTDDH s’interroge sur le type de grenade utilisée par les forces de sécurité qui a arraché la main du jeune homme et sollicite du gouvernement l’ouverture d’une enquête pour déterminer les circonstances de cet accident. Elle exige, par ailleurs, que le ministère de la Sécurité donne les caractéristiques de tous les types de grenades en possession des éléments de forces de l’ordre, leurs nuisances, à quel d’usage elles sont destinées et leurs origines. L’argent du contribuable ne doit pas être utilisé pour servir à la répression et/au moins encore à leur tuerie, affirme la CTDDH.
L'organisation lance un appel aux personnes de bonne volonté à voler au secours de ce jeune homme appelé désormais à vivre avec une main droite amputée pour le restant de son cursus scolaire et académique. La CTDDH tiendra pour responsable le ministre de la Sécurité de toutes les violations des droits de l’homme et leurs conséquences, affirme Ibrahim Mahamat Ibrahim, secrétaire général adjoint de l'organisation.
La CTDDH s’interroge sur le type de grenade utilisée par les forces de sécurité qui a arraché la main du jeune homme et sollicite du gouvernement l’ouverture d’une enquête pour déterminer les circonstances de cet accident. Elle exige, par ailleurs, que le ministère de la Sécurité donne les caractéristiques de tous les types de grenades en possession des éléments de forces de l’ordre, leurs nuisances, à quel d’usage elles sont destinées et leurs origines. L’argent du contribuable ne doit pas être utilisé pour servir à la répression et/au moins encore à leur tuerie, affirme la CTDDH.
L'organisation lance un appel aux personnes de bonne volonté à voler au secours de ce jeune homme appelé désormais à vivre avec une main droite amputée pour le restant de son cursus scolaire et académique. La CTDDH tiendra pour responsable le ministre de la Sécurité de toutes les violations des droits de l’homme et leurs conséquences, affirme Ibrahim Mahamat Ibrahim, secrétaire général adjoint de l'organisation.