Ils dénoncent un déni de dialogue sincère car la convocation est faite par arrêté et non par décret. Selon eux, le dialogue ne peut être convoqué sans un accord préalable avec les politico-militaires, au risque d'un manque d'inclusivité.
Les autorités "ne créent pas l'atmosphère apaisée pour l'entente et la paix entre les tchadiens", déplorent les six organisations signataires d'une déclaration commune. Elles appellent les forces vives de la nation "à ne pas laisser faire cette forfaiture qui va conduire le Tchad à la catastrophe" et rappellent qu'après le 20 octobre 2022, le CMT "n'existe plus et n'est plus reconnu".
Les six organisations politiques et de la société civile appellent la communauté internationale à soutenir un dialogue inclusif et consensuel pour préserver la stabilité et la paix au Tchad.
Les autorités "ne créent pas l'atmosphère apaisée pour l'entente et la paix entre les tchadiens", déplorent les six organisations signataires d'une déclaration commune. Elles appellent les forces vives de la nation "à ne pas laisser faire cette forfaiture qui va conduire le Tchad à la catastrophe" et rappellent qu'après le 20 octobre 2022, le CMT "n'existe plus et n'est plus reconnu".
Les six organisations politiques et de la société civile appellent la communauté internationale à soutenir un dialogue inclusif et consensuel pour préserver la stabilité et la paix au Tchad.