Lors de son discours d'ouverture, le Coordonnateur national du CONAJEPDT, Mahamat Oumar Ibrahim, a déclaré que la situation sociale est devenue intenable, et les perspectives sont préoccupantes. Selon lui, les autorités de la transition n'ont pas encore pris d'engagements sérieux et concrets.
Le Coordonnateur du CONAJEPDT a évoqué les difficultés économiques auxquelles sont confrontés les ménages tchadiens sur l'ensemble du territoire national, en raison du coût de la vie élevé. Il a également noté que l'arrivée massive de réfugiés soudanais dans les zones frontalières pourrait avoir un impact sur le plan social.
En ce qui concerne la sécurité, Mahamat Oumar Ibrahim a souligné que les menaces des bandits de grands chemins sont devenues presque permanentes, aussi bien en milieu rural qu'urbain. Il a appelé les partenaires techniques et financiers du Tchad, en particulier la France, les États-Unis et l'Union européenne, à tenir compte du contexte panafricain actuel et à revoir leurs politiques afin d'établir un partenariat gagnant-gagnant avec le Tchad.
Le Coordonnateur du CONAJEPDT a évoqué les difficultés économiques auxquelles sont confrontés les ménages tchadiens sur l'ensemble du territoire national, en raison du coût de la vie élevé. Il a également noté que l'arrivée massive de réfugiés soudanais dans les zones frontalières pourrait avoir un impact sur le plan social.
En ce qui concerne la sécurité, Mahamat Oumar Ibrahim a souligné que les menaces des bandits de grands chemins sont devenues presque permanentes, aussi bien en milieu rural qu'urbain. Il a appelé les partenaires techniques et financiers du Tchad, en particulier la France, les États-Unis et l'Union européenne, à tenir compte du contexte panafricain actuel et à revoir leurs politiques afin d'établir un partenariat gagnant-gagnant avec le Tchad.