Le directeur général de la police nationale sortant, le général de corps d’armée Moussa Haroun Tirgo, affirme que durant la période de transition, il s'est attelé à faire face aux grands défis sécuritaires, notamment la question du grand banditisme, la gestion des manifestations et la sécurité des personnes et de leurs biens.
L'officier supérieur a cité des actions qui ont été entreprises à savoir : le renforcement du dispositif sécuritaire dans la ville de N’Djamena et ses environnants à travers la commission mixte de sécurité ; la création d’un second commissariat central de police pour la ville de N’Djamena ; l’organisation successive des rafles des malfaiteurs qui perturbent la quiétude de la population ayant permis d’interpeler environ 600 malfrats et de les transférer à la Justice.
L'officier supérieur a cité des actions qui ont été entreprises à savoir : le renforcement du dispositif sécuritaire dans la ville de N’Djamena et ses environnants à travers la commission mixte de sécurité ; la création d’un second commissariat central de police pour la ville de N’Djamena ; l’organisation successive des rafles des malfaiteurs qui perturbent la quiétude de la population ayant permis d’interpeler environ 600 malfrats et de les transférer à la Justice.
Le général Moussa Haroun Tirgo a également évoqué le renforcement des capacités opérationnelles des services de la police nationale en moyens matériels et roulants ; la mise en service des drones de la police nationale et la sécurisation des travaux du Dialogue national inclusif et souverain (DNIS). Il invite tout le personnel du corps de la police nationale à se mettre résolument au travail avec le même élan et la même détermination aux côtés du directeur général sortant de la police nationale.