
Le président national du Parti Réformiste (PR), Yacine Abdramane Sakine. © PR
"Les échanges avec le chef de l’État ont porté sur leur participation au dialogue national inclusif et souverain", indique la Présidence de la République.
"Nous sommes maintenant rassurés", affirme Yacine Abdramane Sakine à sa sortie d'audience.
"Pourquoi le PR participe au dialogue ? Le PR n'a pas participé au premier forum ni au deuxième forum. En tant que formation politique, nous avons tenu une assemblée générale très importante et nous avons jugé nécessaire de participer et de voir ce qui se passe à l'intérieur. Ça veut dire donner notre point de vue sur toutes les questions qui concernent l'avenir de notre pays", détaille-t-il.
Quelques heures avant le lancement des assises, le parti a annoncé sa participation à travers un communiqué. Le 17 août, le Parti Réformiste a annoncé sa non participation au dialogue national inclusif car il n’est “ni sincère ni inclusif”.
Le parti a évoqué l’échec des pourparlers de Doha, la cooptation des partis et le manque de crédibilité. Il a appelé ses militants à “rester mobilisés pour barrer la route au Conseil militaire de transition”.
"Nous sommes maintenant rassurés", affirme Yacine Abdramane Sakine à sa sortie d'audience.
"Pourquoi le PR participe au dialogue ? Le PR n'a pas participé au premier forum ni au deuxième forum. En tant que formation politique, nous avons tenu une assemblée générale très importante et nous avons jugé nécessaire de participer et de voir ce qui se passe à l'intérieur. Ça veut dire donner notre point de vue sur toutes les questions qui concernent l'avenir de notre pays", détaille-t-il.
Quelques heures avant le lancement des assises, le parti a annoncé sa participation à travers un communiqué. Le 17 août, le Parti Réformiste a annoncé sa non participation au dialogue national inclusif car il n’est “ni sincère ni inclusif”.
Le parti a évoqué l’échec des pourparlers de Doha, la cooptation des partis et le manque de crédibilité. Il a appelé ses militants à “rester mobilisés pour barrer la route au Conseil militaire de transition”.