Avec l'appui de ses partenaires, notamment le Fonds mondial, le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), et l'Organisation mondiale de la santé (OMS), le ministère de la Santé publique et de la Prévention, a élaboré un plan d'action opérationnel pour l'amélioration de la couverture de la troisième dose de traitement préventif intermittent chez les femmes enceintes, en consultations prénatales sur la période 2024-2026.
L'objectif de ce plan est de contribuer à la réduction de la mortalité, et de la morbidité imputable au paludisme chez les femmes enceintes. Ce plan est élaboré pour retenir le traitement préventif intermittent (TPI) au Tchad, et son coût global s'élève à 3 654 665 890 F CFA. Cette prévention ne vise que le paludisme chez les femmes enceintes.
Dans cette politique sanitaire, le ministère administre trois comprimés de sulfadoxine Pyréthamine tous les mois, jusqu'à l'accouchement.
Pour ce fait, des stratégies ont été mises telles que, le renforcement des capacités, le plaidoyer, la communication pour le changement comportemental et social, l'intégration des activités du TPI, l'intégration des activités du TPI dans la stratégie avancée, et le suivi et évaluation.
En parcourant le document élaboré, le pourcentage des femmes enceintes vues dans les formations sanitaires, ayant reçu TPI3, est resté stationnaire à 35% en moyenne, entre 2019 et 2022. Ce qui s'explique par le fait que les femmes enceintes viennent aux soins prénataux, avec beaucoup de retard, au point qu'elles ne peuvent plus bénéficier du TPI.
Pour une gestion transparente, le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) est chargé d'assurer la gestion de toutes les ressources mobilisées. Le résultat attendu dans cette période de 2024-2026, est de voir les femmes enceintes fréquenter les centres de consultations prénatales chaque mois pour recevoir au moins trois doses de TPI.
Et pour la mise en œuvre du TPI par les agents de santé communautaires, les femmes enceintes sont sensibilisées sur le TPI, etc.
L'objectif de ce plan est de contribuer à la réduction de la mortalité, et de la morbidité imputable au paludisme chez les femmes enceintes. Ce plan est élaboré pour retenir le traitement préventif intermittent (TPI) au Tchad, et son coût global s'élève à 3 654 665 890 F CFA. Cette prévention ne vise que le paludisme chez les femmes enceintes.
Dans cette politique sanitaire, le ministère administre trois comprimés de sulfadoxine Pyréthamine tous les mois, jusqu'à l'accouchement.
Pour ce fait, des stratégies ont été mises telles que, le renforcement des capacités, le plaidoyer, la communication pour le changement comportemental et social, l'intégration des activités du TPI, l'intégration des activités du TPI dans la stratégie avancée, et le suivi et évaluation.
En parcourant le document élaboré, le pourcentage des femmes enceintes vues dans les formations sanitaires, ayant reçu TPI3, est resté stationnaire à 35% en moyenne, entre 2019 et 2022. Ce qui s'explique par le fait que les femmes enceintes viennent aux soins prénataux, avec beaucoup de retard, au point qu'elles ne peuvent plus bénéficier du TPI.
Pour une gestion transparente, le Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) est chargé d'assurer la gestion de toutes les ressources mobilisées. Le résultat attendu dans cette période de 2024-2026, est de voir les femmes enceintes fréquenter les centres de consultations prénatales chaque mois pour recevoir au moins trois doses de TPI.
Et pour la mise en œuvre du TPI par les agents de santé communautaires, les femmes enceintes sont sensibilisées sur le TPI, etc.