N'Djamena - Le ministre de la Justice, chargé des droits humains, Mahamat Ahmad Alhabo, a présidé lundi la cérémonie officielle de remise du drapeau aux candidats tchadiens devant représenter le Tchad au 12ème concours international "Génies en herbe OHADA’’ qui se tiendra du 13 au 18 septembre 2021 à N’Djamena.
À l’issue de cette cérémonie empreinte de beaucoup de solennité, le coordonnateur du Centre d’animation du droit OHADA au Tchad (CADOT), Casimir Ndoloum, a présenté au ministre de la justice les trois candidats qui représenteront le Tchad à ce concours.
Les trois candidats retenus sont : Nedeou Djikolem Fabrice, Mbaïhondoum Guelbé Alexis et Adam Tidjani Saboun. Le concours aura lieu à N'Djamena en septembre prochain.
En remettant de manière solennelle le tricolore aux représentants du Tchad, le ministre de la Justice les a encouragé et exhorté à consentir des efforts afin de remporter des trophées pour le Tchad.
Le Concours « Génies en Herbe OHADA » a pour objectif de promouvoir et vulgariser le droit OHADA en milieu universitaire pour préparer les experts de demain et pallier le manque ou l'insuffisance des cadres d'expression de ce droit dans les universités et grandes écoles de l'espace OHADA, rappelle le ministère de la Justice.
À l’issue de cette cérémonie empreinte de beaucoup de solennité, le coordonnateur du Centre d’animation du droit OHADA au Tchad (CADOT), Casimir Ndoloum, a présenté au ministre de la justice les trois candidats qui représenteront le Tchad à ce concours.
Les trois candidats retenus sont : Nedeou Djikolem Fabrice, Mbaïhondoum Guelbé Alexis et Adam Tidjani Saboun. Le concours aura lieu à N'Djamena en septembre prochain.
En remettant de manière solennelle le tricolore aux représentants du Tchad, le ministre de la Justice les a encouragé et exhorté à consentir des efforts afin de remporter des trophées pour le Tchad.
Le Concours « Génies en Herbe OHADA » a pour objectif de promouvoir et vulgariser le droit OHADA en milieu universitaire pour préparer les experts de demain et pallier le manque ou l'insuffisance des cadres d'expression de ce droit dans les universités et grandes écoles de l'espace OHADA, rappelle le ministère de la Justice.