Abordant l'aspect éducatif, le président de l'EDS a critiqué la Commission Nationale d'Affectation et de Mutations (CONAM), qui a organisé une session de refondation de l'école tchadienne en trois jours. Selon lui, ce laps de temps est insuffisant pour réellement réformer le système éducatif.
Il estime que cette session a été l'occasion pour le ministre de l'Éducation et de la promotion civique de prendre des décisions préjudiciables aux parents d'élèves. L'augmentation des frais scolaires met en difficulté les familles vulnérables et certains fonctionnaires qui luttent pour joindre les deux bouts en raison de l'insécurité alimentaire actuelle.
Dionkeye Hubert a invité le ministre de l'Éducation et de la promotion civique à suspendre avec effet immédiat la décision d'après lui aggrave les souffrances des tchadiens.
En ce qui concerne la cherté de vie, Dionkeye Hubert a souligné que la population ressent chaque jour davantage le désespoir, la tristesse et la précarité, avec le prix du maïs qui atteint 30 000 FCFA, le sorgho rouge à 25 000 FCFA et le prix du riz en double. Il a également mentionné, l'augmentation des tarifs des transports dans tout le pays causée par le prix des carburants.
Pour les nominations, Dionkeye Hubert a également invité le gouvernement à mettre fin aux nominations basées sur des affiliations claniques et des affinités personnelles qui ne respectent pas les normes établies.
Il estime que cette session a été l'occasion pour le ministre de l'Éducation et de la promotion civique de prendre des décisions préjudiciables aux parents d'élèves. L'augmentation des frais scolaires met en difficulté les familles vulnérables et certains fonctionnaires qui luttent pour joindre les deux bouts en raison de l'insécurité alimentaire actuelle.
Dionkeye Hubert a invité le ministre de l'Éducation et de la promotion civique à suspendre avec effet immédiat la décision d'après lui aggrave les souffrances des tchadiens.
En ce qui concerne la cherté de vie, Dionkeye Hubert a souligné que la population ressent chaque jour davantage le désespoir, la tristesse et la précarité, avec le prix du maïs qui atteint 30 000 FCFA, le sorgho rouge à 25 000 FCFA et le prix du riz en double. Il a également mentionné, l'augmentation des tarifs des transports dans tout le pays causée par le prix des carburants.
Pour les nominations, Dionkeye Hubert a également invité le gouvernement à mettre fin aux nominations basées sur des affiliations claniques et des affinités personnelles qui ne respectent pas les normes établies.