Le topographe Agouzoum Noël n'a toujours pas récupéré ses deux téléphones, confisqués par la Direction Générale des Renseignements et d’Investigation (DRGI), 48 heures après son incarcération et son audition dans les locaux de cette structure. « Mes deux téléphones ne m’ont pas été restitués par la DRGI.
La personne chargée de les récupérer n’a pas pu les obtenir jusqu’à présent. Je suis privé de toute communication », a déclaré Agouzoum Noël mardi, lors d’un appel téléphonique. Il avait lancé une alerte sur la montée des eaux du fleuve Chari, qui a conduit à sa convocation dimanche par le maire de la commune du 9ème arrondissement.
À son arrivée à la mairie, Agouzoum Noël a été arrêté, puis conduit à la DRGI, où il a été interrogé toute la journée avant de regagner son domicile aux alentours de 14 heures, comme l’ont confirmé ses proches et une source au sein de la commune du 9ème arrondissement.
« J'ai été contacté par le maire du 9ème arrondissement. À mon arrivée à la mairie, les services de renseignements m’ont emmené à leurs bureaux où j'ai été interrogé par le directeur de la DRGI. Ils m'ont demandé pourquoi j'avais alerté sur la montée des eaux du fleuve sur les réseaux sociaux, reprise par certains médias », a précisé Agouzoum Noël.
Cette interpellation est survenue après qu’Agouzoum Noël ait publié un message d’alerte sur les réseaux sociaux, signalant la montée des eaux menaçant gravement une digue construite à hauteur de 22 milliards de francs CFA.
La personne chargée de les récupérer n’a pas pu les obtenir jusqu’à présent. Je suis privé de toute communication », a déclaré Agouzoum Noël mardi, lors d’un appel téléphonique. Il avait lancé une alerte sur la montée des eaux du fleuve Chari, qui a conduit à sa convocation dimanche par le maire de la commune du 9ème arrondissement.
À son arrivée à la mairie, Agouzoum Noël a été arrêté, puis conduit à la DRGI, où il a été interrogé toute la journée avant de regagner son domicile aux alentours de 14 heures, comme l’ont confirmé ses proches et une source au sein de la commune du 9ème arrondissement.
« J'ai été contacté par le maire du 9ème arrondissement. À mon arrivée à la mairie, les services de renseignements m’ont emmené à leurs bureaux où j'ai été interrogé par le directeur de la DRGI. Ils m'ont demandé pourquoi j'avais alerté sur la montée des eaux du fleuve sur les réseaux sociaux, reprise par certains médias », a précisé Agouzoum Noël.
Cette interpellation est survenue après qu’Agouzoum Noël ait publié un message d’alerte sur les réseaux sociaux, signalant la montée des eaux menaçant gravement une digue construite à hauteur de 22 milliards de francs CFA.