Dans le cadre du projet « Renforcement des capacités techniques et opérationnelles de la CNDH en vue de contribuer à la protection et à la promotion des droits de l’Homme au Tchad », la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH), à travers sa sous-commission prévention de la torture, a organisé ce jeudi 8 mai 2025, une journée d’information et d’échanges avec les forces de sécurité.
L’événement, qui s’est tenu dans la salle 10 du CEFOD dès 8h30, a réuni les commandants des brigades urbaines et les commissaires de la police de sécurité publique de la ville de N’Djamena. L’objectif est de renforcer la compréhension des instruments juridiques relatifs à la protection des droits humains, et à la lutte contre la torture.
Dans son mot de bienvenue, la présidente de la sous-commission, Dr Lambatim Nandjilengar Hélène, a souligné l’importance de cette initiative. « Cette journée d’échanges va permettre à l’État tchadien d’être à jour dans ses engagements au niveau international, qui est celui de l’application des lois », a-t-elle déclaré.
Le président de la CNDH, Belngar Larmé Jacques, qui a officiellement lancé les travaux, a tenu à rappeler l’engagement des autorités en matière de lutte contre la torture.
« À propos des actes de torture, ces pratiques néfastes commises sur des personnes détenues, l'État tchadien a pris des mesures législatives, administratives, judiciaires et bien d'autres efficaces, pour qu'elles cessent sur l'ensemble du territoire », a-t-il affirmé. Il a également assuré que « la CNDH ne ménagera aucun effort pour leur apporter l'appui technique dont ils ont besoin ».
Cette initiative vise à améliorer la collaboration entre la CNDH et les forces de sécurité dans la prévention des pratiques contraires aux droits humains, encore dénoncées dans certains rapports nationaux et internationaux.
La rencontre s’inscrit dans une dynamique de sensibilisation et de formation des agents chargés de faire respecter la loi, en leur rappelant leurs obligations vis-à-vis des textes nationaux et internationaux ratifiés par le Tchad. La CNDH espère qu’à travers ce type d’activités, les comportements changeront durablement et que les droits des citoyens seront davantage respectés, notamment lors des interpellations, des détentions et des enquêtes policières.
L’événement a également bénéficié du soutien technique du Bureau des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, partenaire de longue date de la CNDH.
L’événement, qui s’est tenu dans la salle 10 du CEFOD dès 8h30, a réuni les commandants des brigades urbaines et les commissaires de la police de sécurité publique de la ville de N’Djamena. L’objectif est de renforcer la compréhension des instruments juridiques relatifs à la protection des droits humains, et à la lutte contre la torture.
Dans son mot de bienvenue, la présidente de la sous-commission, Dr Lambatim Nandjilengar Hélène, a souligné l’importance de cette initiative. « Cette journée d’échanges va permettre à l’État tchadien d’être à jour dans ses engagements au niveau international, qui est celui de l’application des lois », a-t-elle déclaré.
Le président de la CNDH, Belngar Larmé Jacques, qui a officiellement lancé les travaux, a tenu à rappeler l’engagement des autorités en matière de lutte contre la torture.
« À propos des actes de torture, ces pratiques néfastes commises sur des personnes détenues, l'État tchadien a pris des mesures législatives, administratives, judiciaires et bien d'autres efficaces, pour qu'elles cessent sur l'ensemble du territoire », a-t-il affirmé. Il a également assuré que « la CNDH ne ménagera aucun effort pour leur apporter l'appui technique dont ils ont besoin ».
Cette initiative vise à améliorer la collaboration entre la CNDH et les forces de sécurité dans la prévention des pratiques contraires aux droits humains, encore dénoncées dans certains rapports nationaux et internationaux.
La rencontre s’inscrit dans une dynamique de sensibilisation et de formation des agents chargés de faire respecter la loi, en leur rappelant leurs obligations vis-à-vis des textes nationaux et internationaux ratifiés par le Tchad. La CNDH espère qu’à travers ce type d’activités, les comportements changeront durablement et que les droits des citoyens seront davantage respectés, notamment lors des interpellations, des détentions et des enquêtes policières.
L’événement a également bénéficié du soutien technique du Bureau des Nations Unies pour les Droits de l’Homme, partenaire de longue date de la CNDH.