
Il s’agit d’un coup mortel à la population pauvre. En effet, ce n'est pas un secret de polichinelle de voir que les médecins fonctionnaires exercent également dans des cliniques privées, parfois au détriment de leur service dans les hôpitaux publics.
Ce phénomène soulève des questions, mais comment en est-on arrivé là ? Et quelles solutions peuvent être envisagées pour redresser la situation ?
Face à l'insuffisance des salaires dans le public et les conditions de travail désagréables, de nombreux médecins, notamment ceux qui travaillent dans les hôpitaux publics, se tournent vers le secteur privé en créant leur propre structure sanitaire pour compléter leurs revenus et exercer leur profession dans des conditions qu'ils jugent plus favorables.
Cette situation pose des défis pour le système de santé du pays, les populations qui n'ont pas les moyens de payer les cliniques privées risquent de ne pas avoir accès aux soins de qualité. Bien qu'il n'est pas illégal pour un médecin fonctionnaire d'État de disposer ou de travailler dans une clinique.
Cette pratique peut soulever des questions d'éthique et d'équité dans l'accès aux soins, ainsi que des préoccupations concernant la qualité des soins prodigués dans les deux structures. Le choix de celui qui paye plus s'impose, ce conflit d'intérêt fragile le système sanitaire.
Cependant, l'État doit mettre en place une structure de contrôle rigoureux afin de garantir que les médecins respectent les règles d'éthique et de déontologie. Ceci permettra aux patients de bénéficier de la même qualité de soins dans les hôpitaux publics que les cliniques privées. À l'exemple du gouvernement burkinabè qui a exigé aux agents de santé du public d’intervenir 8 heures par semaine dans le privé, soit en une journée, soit en deux demi-journées.
Le secteur de la santé a besoin d’un grand coup de balai pour que le personnel soignant se consacre au travail dans l’honnêteté et le dévouement, surtout qu’il s’agit de fonctionnaires publics qui ont prêté serment pour s’acquitter de cette noble mission.
Ce phénomène soulève des questions, mais comment en est-on arrivé là ? Et quelles solutions peuvent être envisagées pour redresser la situation ?
Face à l'insuffisance des salaires dans le public et les conditions de travail désagréables, de nombreux médecins, notamment ceux qui travaillent dans les hôpitaux publics, se tournent vers le secteur privé en créant leur propre structure sanitaire pour compléter leurs revenus et exercer leur profession dans des conditions qu'ils jugent plus favorables.
Cette situation pose des défis pour le système de santé du pays, les populations qui n'ont pas les moyens de payer les cliniques privées risquent de ne pas avoir accès aux soins de qualité. Bien qu'il n'est pas illégal pour un médecin fonctionnaire d'État de disposer ou de travailler dans une clinique.
Cette pratique peut soulever des questions d'éthique et d'équité dans l'accès aux soins, ainsi que des préoccupations concernant la qualité des soins prodigués dans les deux structures. Le choix de celui qui paye plus s'impose, ce conflit d'intérêt fragile le système sanitaire.
Cependant, l'État doit mettre en place une structure de contrôle rigoureux afin de garantir que les médecins respectent les règles d'éthique et de déontologie. Ceci permettra aux patients de bénéficier de la même qualité de soins dans les hôpitaux publics que les cliniques privées. À l'exemple du gouvernement burkinabè qui a exigé aux agents de santé du public d’intervenir 8 heures par semaine dans le privé, soit en une journée, soit en deux demi-journées.
Le secteur de la santé a besoin d’un grand coup de balai pour que le personnel soignant se consacre au travail dans l’honnêteté et le dévouement, surtout qu’il s’agit de fonctionnaires publics qui ont prêté serment pour s’acquitter de cette noble mission.