Selon les autorités américaines, la poursuite de l'engagement des États-Unis au sein de l’organisation ne sert plus les intérêts nationaux américains. Le communiqué dénonce une orientation jugée « divisive » de l’UNESCO dans ses missions sociales et culturelles, ainsi qu’un engagement jugé excessif envers les Objectifs de Développement Durable (ODD) des Nations Unies, que Washington qualifie de « programme idéologique globaliste incompatible avec la politique étrangère America First ».
La reconnaissance de la Palestine en ligne de mire
La décision de l’UNESCO d’admettre la « Palestine comme État membre » est désignée comme l’un des éléments déclencheurs de ce retrait. Cette reconnaissance est qualifiée par les États-Unis de « problématique » et « contraire à la politique étrangère américaine ». Elle aurait, selon le communiqué, contribué à l’augmentation de discours hostiles à Israël au sein de l’organisation.
Une priorité aux intérêts américains
Le retrait s’inscrit dans une reconfiguration de la politique multilatérale américaine, centrée sur la défense des intérêts nationaux. Le Département d’État affirme que la participation future des États-Unis aux organisations internationales se fera avec une volonté claire de « défendre les intérêts américains avec clarté et conviction. »
Un retrait progressif
Conformément aux statuts de l’UNESCO, le retrait américain sera effectif fin 2026, ce qui laisse un délai d’un an et demi pour organiser la transition. D’ici là, les États-Unis resteront un membre à part entière de l’organisation.
Ce retrait n’est pas une première : les États-Unis s’étaient déjà retirés de l’UNESCO en 2017 sous l’administration Trump, avant de réintégrer l’organisation en 2023.
La reconnaissance de la Palestine en ligne de mire
La décision de l’UNESCO d’admettre la « Palestine comme État membre » est désignée comme l’un des éléments déclencheurs de ce retrait. Cette reconnaissance est qualifiée par les États-Unis de « problématique » et « contraire à la politique étrangère américaine ». Elle aurait, selon le communiqué, contribué à l’augmentation de discours hostiles à Israël au sein de l’organisation.
Une priorité aux intérêts américains
Le retrait s’inscrit dans une reconfiguration de la politique multilatérale américaine, centrée sur la défense des intérêts nationaux. Le Département d’État affirme que la participation future des États-Unis aux organisations internationales se fera avec une volonté claire de « défendre les intérêts américains avec clarté et conviction. »
Un retrait progressif
Conformément aux statuts de l’UNESCO, le retrait américain sera effectif fin 2026, ce qui laisse un délai d’un an et demi pour organiser la transition. D’ici là, les États-Unis resteront un membre à part entière de l’organisation.
Ce retrait n’est pas une première : les États-Unis s’étaient déjà retirés de l’UNESCO en 2017 sous l’administration Trump, avant de réintégrer l’organisation en 2023.