La scène horrible est survenue dans la nuit du 22 août, au quartier Chari Mongo, dans le 7ème arrondissement de la capitale tchadienne.
En effet, le malheureux homme a passé une soirée en compagnie d’une dame dans un bistrot, jusqu'à tard la nuit.
Il négocie avec le gérant du bistrot, une chambre. Marché conclu, le gérant aménage une chambre de circonstance au sein du bistrot où l’homme et sa dulcinée passent la nuit. Au petit matin, l’accord tourne au cauchemar.
Le gérant avoue avoir perdu 35 000 francs, renseignent les témoins de la scène. L’homme a beau juré n’avoir pas pris cette somme, cela ne va convaincre personne.
Sa dulcinée partie, quelques jeunes du quartier le battent violemment pour lui arracher un aveu. L’homme supplie qu’on le laisse partir, il rembourserait la prétendue somme perdue. Les témoins de la scène conseillent de saisir la police.
Malgré les supplications, les conseils sont rejetés par les jeunes. Le malheureux homme est battu de plus belle. Vers midi, il s’écroule et meurt des suites de douleur. Alertée, la police procède à des arrestations.
En effet, le malheureux homme a passé une soirée en compagnie d’une dame dans un bistrot, jusqu'à tard la nuit.
Il négocie avec le gérant du bistrot, une chambre. Marché conclu, le gérant aménage une chambre de circonstance au sein du bistrot où l’homme et sa dulcinée passent la nuit. Au petit matin, l’accord tourne au cauchemar.
Le gérant avoue avoir perdu 35 000 francs, renseignent les témoins de la scène. L’homme a beau juré n’avoir pas pris cette somme, cela ne va convaincre personne.
Sa dulcinée partie, quelques jeunes du quartier le battent violemment pour lui arracher un aveu. L’homme supplie qu’on le laisse partir, il rembourserait la prétendue somme perdue. Les témoins de la scène conseillent de saisir la police.
Malgré les supplications, les conseils sont rejetés par les jeunes. Le malheureux homme est battu de plus belle. Vers midi, il s’écroule et meurt des suites de douleur. Alertée, la police procède à des arrestations.