Le football au Tchad a connu plus de bas que de hauts. Cependant, la saison 2020-2021 est la plus critique et la pire de toutes. Il a fallu un coup de force du président de transition, Mahamat Idriss Deby Itno, pour relancer les activités sportives, dont l'organisation du championnat national et d'autres compétitions sur toute l'étendue du territoire.
Malheureusement, tout cela n'a accouché que des défaites pour l'équipe nationale, lors de la qualification au championnat d'Afrique Nationale (CHAN), mais aussi pour les deux clubs, Élect-sport et As-Santé d'Abeché (tous deux finalistes du championnat national), lors des préliminaires de la Coupe d'Afrique de la confédération et de la League des champions africaine.
C'est le résultat de l'année de sport que l'on espérait mieux, souligne Terab, ex-joueur de As-cotontchad. Face à ce résultat médiocre, Dillah gardien de but de l’USM (Union sportive du Moursal) s'interroge : « comment peut-on évoquer une année de sport sans infrastructures ? C'est ce qui explique les défaites pour les matchs joués à l'extérieur du pays, au Cameroun par les deux clubs et les Sao, à défaut de terrain national qui est en réfection », dit-il.
« C'est une perte d'argent car le football tchadien est en manque d’un homme qu'il faut à la place qu'il faut », estime-t-il. L'année de sport qui a fait la une des presses tchadiennes, s'est transformée en une tristesse, plutôt qu’en joie, au regard des défaites à toutes les compétitions confondues.
« Si l'on se plaint de la mauvaise croissance de son agneau, s'il meurt qu'est-ce qui en reste ? », dit un adage. Malheureusement, le football au Tchad est en train de mourir à petit feu. L'on finira par donner carton rouge à la fédération de football et aux autorités tchadiennes, comme le dit souvent Rémy Gono.
Malheureusement, tout cela n'a accouché que des défaites pour l'équipe nationale, lors de la qualification au championnat d'Afrique Nationale (CHAN), mais aussi pour les deux clubs, Élect-sport et As-Santé d'Abeché (tous deux finalistes du championnat national), lors des préliminaires de la Coupe d'Afrique de la confédération et de la League des champions africaine.
C'est le résultat de l'année de sport que l'on espérait mieux, souligne Terab, ex-joueur de As-cotontchad. Face à ce résultat médiocre, Dillah gardien de but de l’USM (Union sportive du Moursal) s'interroge : « comment peut-on évoquer une année de sport sans infrastructures ? C'est ce qui explique les défaites pour les matchs joués à l'extérieur du pays, au Cameroun par les deux clubs et les Sao, à défaut de terrain national qui est en réfection », dit-il.
« C'est une perte d'argent car le football tchadien est en manque d’un homme qu'il faut à la place qu'il faut », estime-t-il. L'année de sport qui a fait la une des presses tchadiennes, s'est transformée en une tristesse, plutôt qu’en joie, au regard des défaites à toutes les compétitions confondues.
« Si l'on se plaint de la mauvaise croissance de son agneau, s'il meurt qu'est-ce qui en reste ? », dit un adage. Malheureusement, le football au Tchad est en train de mourir à petit feu. L'on finira par donner carton rouge à la fédération de football et aux autorités tchadiennes, comme le dit souvent Rémy Gono.