
Ce n’est pas une surprise, mais l'entrée à l'université de Ndjamena constitue un point de rupture à la pratique sportive et culturelle. Pourtant, l'accès aux activités cultures et sportives est très important dans la vie estudiantine.
Face à ce constat, la rédaction de Alwihda Info a contacté Mabaindiguissi Rodrigue, chargé des affaires académiques, culturelles et sportives de l'Union Nationale des Étudiants Tchadiens (UNET), section de Ndjamena qui justifie ce manque d’activités sportives et culturelles, en raison du manque de financement.
« Le constat est réel, l'université de Ndjamena renferme plusieurs talents sportifs et culturels. Malheureusement, les moyens manquent de valoriser les activités sportives et culturelles pendant nos cursus. Beaucoup de projets culturels sont déposés auprès de nos partenaires sans suite », a-t-il élucidé.
Loin de cette déclaration, le manque d’infrastructures sportives et culturelles n’est pas à décrire. Le campus de Toukra est doté d'un terrain de basket-ball et de volley-ball qui aujourd’hui sont en état piteux. Pourtant, il existe un service chargé des affaires culturelles et sportives, au sein du Centre national des œuvres universitaires, dont la mission est d'accompagner les activités sportives et culturelles en milieu universitaire.
Toutefois, ces baisses d’activités sportives et physiques ne sont pas sans conséquence sur la santé mentale des étudiants. Cependant, il est important d’intégrer le sport au quotidien des étudiants, et créer les salles de théâtre, de danse et autres. Il faut que ces activités soient au cœur de la politique des universités. Ainsi, il sera possible que l'université de Ndjamena puisse avoir une équipe de football, volley-ball, basketball, un groupe théâtral et de danse.
Face à ce constat, la rédaction de Alwihda Info a contacté Mabaindiguissi Rodrigue, chargé des affaires académiques, culturelles et sportives de l'Union Nationale des Étudiants Tchadiens (UNET), section de Ndjamena qui justifie ce manque d’activités sportives et culturelles, en raison du manque de financement.
« Le constat est réel, l'université de Ndjamena renferme plusieurs talents sportifs et culturels. Malheureusement, les moyens manquent de valoriser les activités sportives et culturelles pendant nos cursus. Beaucoup de projets culturels sont déposés auprès de nos partenaires sans suite », a-t-il élucidé.
Loin de cette déclaration, le manque d’infrastructures sportives et culturelles n’est pas à décrire. Le campus de Toukra est doté d'un terrain de basket-ball et de volley-ball qui aujourd’hui sont en état piteux. Pourtant, il existe un service chargé des affaires culturelles et sportives, au sein du Centre national des œuvres universitaires, dont la mission est d'accompagner les activités sportives et culturelles en milieu universitaire.
Toutefois, ces baisses d’activités sportives et physiques ne sont pas sans conséquence sur la santé mentale des étudiants. Cependant, il est important d’intégrer le sport au quotidien des étudiants, et créer les salles de théâtre, de danse et autres. Il faut que ces activités soient au cœur de la politique des universités. Ainsi, il sera possible que l'université de Ndjamena puisse avoir une équipe de football, volley-ball, basketball, un groupe théâtral et de danse.