TORONTO, Canada - Mastercard Foundation a publié aujourd'hui, en partenariat avec BFA, le document « Digital Commerce and Youth Employment in Africa » (le commerce numérique et l'emploi des jeunes en Afrique), une nouvelle étude qui montre que 80 millions de jeunes vont bénéficier de l'essor du commerce numérique en Afrique d'ici 2030. Ces résultats indiquent que le secteur du commerce numérique est à même de rebattre les cartes de l'avenir du travail sur le continent.
Le commerce numérique, ou commerce électronique, est un secteur émergent dans toute l'Afrique. À l'horizon 2030, plus de 10 pour cent de sa main-d'œuvre en grande partie informelle utilisera des plateformes numériques. Ces travailleurs participeront au commerce numérique à titre de consommateurs et, avec un environnement politique qui les encourage, ils pourraient aussi devenir un nouveau groupe de travailleurs appelés « iWorkers ». Ces jeunes connectés numériquement qui entrent sur le marché du travail vont générer des revenus dans ce que l'on appelle la « gig economy » (l'économie des petits boulots), en occupant des emplois directs dans de grandes plateformes telles qu'Amazon et Alibaba et dans de petites entreprises, ce qui pourra déboucher sur un travail plus formel.
Tricia Williams, directrice principale de la stratégie et de l'apprentissage à Mastercard Foundation, déclare à cet effet : « Un grand nombre de jeunes pourraient bénéficier de l'essor du commerce numérique en Afrique, sortir de la pauvreté et en faire sortir leur famille. Les décideurs ont là une occasion unique de façonner l'avenir du travail pour la jeunesse africaine en élaborant des politiques propices à la croissance. Ces politiques doivent faciliter l'épanouissement de tout le potentiel du commerce numérique, tout en abordant les risques de celui-ci ».
Digital Commerce and Youth Employment in Africa poursuit en expliquant que les gouvernements africains peuvent immédiatement adopter trois approches pour se mettre à l'abri de l'avenir et préparer la jeunesse africaine à faire face aux différents scénarios découlant de l'émergence indéniable du commerce numérique.
Ces approches consistent à : David Porteous, fondateur et président de BFA, recommande aux décideurs « d'adopter une démarche basée sur les tests et l'apprentissage, ce qui est une méthode d'expérimentation ciblée dans le but d'élaborer des stratégies et des politiques plus exhaustives au fil du temps, comme par exemple une version numérique du programme de travaux publics qui cible les jeunes ou qui teste l'exemption de certaines lois du travail et certaines exonérations fiscales pour inciter une politique active au bénéfice de l'iWorker ». Il ajoute « qu'il est déconseillé de ne rien faire, car les années à venir vont offrir l'occasion de façonner une structure du travail plus productive ».
Le commerce numérique, ou commerce électronique, est un secteur émergent dans toute l'Afrique. À l'horizon 2030, plus de 10 pour cent de sa main-d'œuvre en grande partie informelle utilisera des plateformes numériques. Ces travailleurs participeront au commerce numérique à titre de consommateurs et, avec un environnement politique qui les encourage, ils pourraient aussi devenir un nouveau groupe de travailleurs appelés « iWorkers ». Ces jeunes connectés numériquement qui entrent sur le marché du travail vont générer des revenus dans ce que l'on appelle la « gig economy » (l'économie des petits boulots), en occupant des emplois directs dans de grandes plateformes telles qu'Amazon et Alibaba et dans de petites entreprises, ce qui pourra déboucher sur un travail plus formel.
Tricia Williams, directrice principale de la stratégie et de l'apprentissage à Mastercard Foundation, déclare à cet effet : « Un grand nombre de jeunes pourraient bénéficier de l'essor du commerce numérique en Afrique, sortir de la pauvreté et en faire sortir leur famille. Les décideurs ont là une occasion unique de façonner l'avenir du travail pour la jeunesse africaine en élaborant des politiques propices à la croissance. Ces politiques doivent faciliter l'épanouissement de tout le potentiel du commerce numérique, tout en abordant les risques de celui-ci ».
Digital Commerce and Youth Employment in Africa poursuit en expliquant que les gouvernements africains peuvent immédiatement adopter trois approches pour se mettre à l'abri de l'avenir et préparer la jeunesse africaine à faire face aux différents scénarios découlant de l'émergence indéniable du commerce numérique.
Ces approches consistent à :
- Recueillir des données de plus grande qualité sur le commerce numérique et l'emploi.
- Suivre l'évolution des tendances et faire en sorte que les décideurs aient une meilleure compréhension des questions liées au commerce numérique.
- Donner la priorité au développement des compétences en commerce numérique dans le cadre de la gestion numérique de la relation client et du marketing.