Les fouilles sont effectuées à toutes les principales sorties de la capitale. Certains véhicules sont arrêtés sans raison apparente, tandis que les bus de transport en commun sont soumis à des fouilles approfondies, mettant à nu chaque valise, couchage, sac à dos et autre effet personnel.
Un passager a osé demander au militaire la raison de ces fouilles intrusives, et la réponse du soldat a été déconcertante : "(...) Vous ne voulez pas qu'on vous fouille ?" Pour les passagers qui ne semblent pas convaincus, le gouvernement sait très bien où se trouvent les armes, mais cette fouille apparaît plutôt comme une perturbation injustifiée pour les pauvres passagers.
Cette situation de contrôle militaire excessif est devenue un véritable cauchemar pour les voyageurs, qui expriment leur frustration face à cette mesure qui semble plus s'adresser à la population civile qu'à de véritables criminels. La méfiance et le sentiment d'injustice grandissent parmi les passagers, qui espèrent que cette situation sera bientôt revue pour leur permettre de voyager en toute tranquillité.
Un passager a osé demander au militaire la raison de ces fouilles intrusives, et la réponse du soldat a été déconcertante : "(...) Vous ne voulez pas qu'on vous fouille ?" Pour les passagers qui ne semblent pas convaincus, le gouvernement sait très bien où se trouvent les armes, mais cette fouille apparaît plutôt comme une perturbation injustifiée pour les pauvres passagers.
Cette situation de contrôle militaire excessif est devenue un véritable cauchemar pour les voyageurs, qui expriment leur frustration face à cette mesure qui semble plus s'adresser à la population civile qu'à de véritables criminels. La méfiance et le sentiment d'injustice grandissent parmi les passagers, qui espèrent que cette situation sera bientôt revue pour leur permettre de voyager en toute tranquillité.