La cérémonie de lancement s'est tenue ce lundi 24 juin 2024 dans la salle multimédia du Centre d'études et de formation pour le développement (CEFOD).
Ce symposium international a rassemblé des participants venant de diverses régions d'Afrique, de Turquie, et de l'intérieur du pays pour une session de quatre jours.
Lors de son discours d'ouverture, Silvia Fregoso, chargée Sahel de l'ACRA, a souligné que les violations des droits humains dues aux inégalités de genre et aux conflits sont présentes dans tous les pays.
Elle a affirmé que l'impact négatif de ces conflits est particulièrement marqué chez les femmes et les jeunes, les empêchant de participer pleinement à la gestion de la société, nuisant à leur autonomisation et contribuant ainsi aux inégalités.
Selon Silvia Fregoso, ce symposium vise à être un cadre de concertation et une force de propositions stratégiques pour la promotion de l'égalité de genre et la prévention des conflits.
Dans son discours de lancement, Moudelbaye Noubandissem, secrétaire générale du ministère de la Femme, de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale, représentant la ministre, a souligné que le Tchad et les autres pays du Sahel font face à des conflits récurrents depuis des décennies, avec des conséquences dévastatrices.
Moudelbaye Noubandissem a indiqué que ces conflits aggravent la vulnérabilité de la société, affectant particulièrement les femmes et les enfants, qui forment la majorité des populations réfugiées ou déplacées.
Elle a exhorté les experts et participants à mener des débats francs et passionnés durant ces quatre jours d'échanges afin de parvenir à des conclusions solides, affirmant que les violences basées sur le genre sont un obstacle à la paix, à la cohésion sociale et au développement durable.
Moudelbaye Noubandissem a souligné qu'aucun pays ne peut prétendre à un développement durable sans la participation active et effective des femmes.
Ce symposium international a rassemblé des participants venant de diverses régions d'Afrique, de Turquie, et de l'intérieur du pays pour une session de quatre jours.
Lors de son discours d'ouverture, Silvia Fregoso, chargée Sahel de l'ACRA, a souligné que les violations des droits humains dues aux inégalités de genre et aux conflits sont présentes dans tous les pays.
Elle a affirmé que l'impact négatif de ces conflits est particulièrement marqué chez les femmes et les jeunes, les empêchant de participer pleinement à la gestion de la société, nuisant à leur autonomisation et contribuant ainsi aux inégalités.
Selon Silvia Fregoso, ce symposium vise à être un cadre de concertation et une force de propositions stratégiques pour la promotion de l'égalité de genre et la prévention des conflits.
Dans son discours de lancement, Moudelbaye Noubandissem, secrétaire générale du ministère de la Femme, de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale, représentant la ministre, a souligné que le Tchad et les autres pays du Sahel font face à des conflits récurrents depuis des décennies, avec des conséquences dévastatrices.
Moudelbaye Noubandissem a indiqué que ces conflits aggravent la vulnérabilité de la société, affectant particulièrement les femmes et les enfants, qui forment la majorité des populations réfugiées ou déplacées.
Elle a exhorté les experts et participants à mener des débats francs et passionnés durant ces quatre jours d'échanges afin de parvenir à des conclusions solides, affirmant que les violences basées sur le genre sont un obstacle à la paix, à la cohésion sociale et au développement durable.
Moudelbaye Noubandissem a souligné qu'aucun pays ne peut prétendre à un développement durable sans la participation active et effective des femmes.