À l'occasion de la célébration de l’indépendance des États-Unis d’Amérique, l’ambassade des États-Unis au Tchad a organisé une réception pour marquer cet événement.
La cérémonie s’est tenue en présence de plusieurs membres du gouvernement tchadien, de responsables civils et militaires, ainsi que de représentants du corps diplomatique accrédités au Tchad.
Dans son allocution, le chargé d'affaires de l’ambassade des États-Unis, Ousman Tat, a rappelé que le 4 juillet commémore l’adoption de la Déclaration d’indépendance, le texte fondateur par lequel l’Amérique affirmait son indépendance il y a 249 ans. Mais cette déclaration ne se limitait pas à un acte politique : elle a façonné la nation américaine à travers sa vision, ses promesses et la force inspirante de ses paroles.
Le 249ème anniversaire de la Déclaration d’indépendance revêt cette année une signification particulière, puisqu’il marque également les 65 ans de la reconnaissance par les États-Unis de l’indépendance de la République du Tchad. À cette occasion, un message de félicitations avait été adressé le 11 août 1960 par le président Eisenhower au président François Tombalbaye.
C’est également à cette date que les relations diplomatiques entre les deux pays ont été établies, avec la présentation des lettres de créance du consul américain basé à Brazzaville, nommé chargé d’Affaires auprès du Tchad. Comme dans de nombreuses ambassades américaines à travers le monde cette année, nous sommes dans l’attente de la nomination et de la confirmation de notre prochain ambassadeur.
On aura prochainement le plaisir d’accueillir à N’Djamena, Bill Flers, diplomate ayant récemment exercé ses fonctions à Juba, au Soudan du Sud. Il assumera le rôle de chargé d’Affaires jusqu’à la nomination officielle du nouvel ambassadeur. Cette année a été marquée par des changements importants, tant aux États-Unis qu’au Tchad. Les deux pays ont organisé des élections.
Dans nos deux sociétés, les dirigeants politiques comme les membres de la société civile se tournent vers l’avenir et s’efforcent, parfois dans la divergence, de tracer la voie la plus juste vers les opportunités évoquées avec tant d’éloquence dans la Déclaration d’indépendance.
Dans cet esprit de renouveau, la nouvelle administration américaine entend repenser son partenariat avec l’Afrique de manière ambitieuse et tournée vers l’avenir. Notre relation, longtemps perçue à travers le prisme de l’assistance, cherche aujourd’hui un nouvel équilibre, afin de mieux répondre aux aspirations des Africains, désireux de valoriser leurs capacités, leur souveraineté et leur potentiel.
Le secrétaire d’État, Marco Rubio, l’a souligné à plusieurs reprises : « L’Amérique d’abord ne signifie pas l’Amérique seule. » Pour atteindre ces objectifs communs, les États-Unis sont convaincus de la nécessité de travailler aux côtés de leurs partenaires africains afin de promouvoir les opportunités économiques, renforcer la coopération sécuritaire et stimuler une croissance partagée sur l’ensemble du continent.
Lors d’une récente visite à Abidjan, le Haut représentant pour l’Afrique, l’ambassadeur Troy Fitrell, a déclaré : « Nous ne voyons plus l’Afrique comme un continent dépendant de l’aide, mais comme un partenaire commercial à part entière. » Le slogan « Du commerce, pas de l’aide », entendu depuis plusieurs années, est désormais au cœur de notre politique africaine. Alors que le Tchad déploie son ambitieux plan Chad Connection 2030, l’on est convaincu que le partenariat entre les États-Unis et le Tchad n’a jamais été aussi crucial.
Porté par une nouvelle vision et riche en opportunités pour les jeunes entrepreneurs et les entreprises tchadiennes, l’avenir de cette relation bilatérale s’annonce prometteur. Pour concrétiser ces ambitions, une volonté politique forte et un engagement sincère en faveur d’un partenariat équilibré et durable sont indispensables des deux côtés. L’on demeure donc confiant dans la solidité et la richesse d’une coopération mutuellement bénéfique à long terme.
La cérémonie s’est tenue en présence de plusieurs membres du gouvernement tchadien, de responsables civils et militaires, ainsi que de représentants du corps diplomatique accrédités au Tchad.
Dans son allocution, le chargé d'affaires de l’ambassade des États-Unis, Ousman Tat, a rappelé que le 4 juillet commémore l’adoption de la Déclaration d’indépendance, le texte fondateur par lequel l’Amérique affirmait son indépendance il y a 249 ans. Mais cette déclaration ne se limitait pas à un acte politique : elle a façonné la nation américaine à travers sa vision, ses promesses et la force inspirante de ses paroles.
Le 249ème anniversaire de la Déclaration d’indépendance revêt cette année une signification particulière, puisqu’il marque également les 65 ans de la reconnaissance par les États-Unis de l’indépendance de la République du Tchad. À cette occasion, un message de félicitations avait été adressé le 11 août 1960 par le président Eisenhower au président François Tombalbaye.
C’est également à cette date que les relations diplomatiques entre les deux pays ont été établies, avec la présentation des lettres de créance du consul américain basé à Brazzaville, nommé chargé d’Affaires auprès du Tchad. Comme dans de nombreuses ambassades américaines à travers le monde cette année, nous sommes dans l’attente de la nomination et de la confirmation de notre prochain ambassadeur.
On aura prochainement le plaisir d’accueillir à N’Djamena, Bill Flers, diplomate ayant récemment exercé ses fonctions à Juba, au Soudan du Sud. Il assumera le rôle de chargé d’Affaires jusqu’à la nomination officielle du nouvel ambassadeur. Cette année a été marquée par des changements importants, tant aux États-Unis qu’au Tchad. Les deux pays ont organisé des élections.
Dans nos deux sociétés, les dirigeants politiques comme les membres de la société civile se tournent vers l’avenir et s’efforcent, parfois dans la divergence, de tracer la voie la plus juste vers les opportunités évoquées avec tant d’éloquence dans la Déclaration d’indépendance.
Dans cet esprit de renouveau, la nouvelle administration américaine entend repenser son partenariat avec l’Afrique de manière ambitieuse et tournée vers l’avenir. Notre relation, longtemps perçue à travers le prisme de l’assistance, cherche aujourd’hui un nouvel équilibre, afin de mieux répondre aux aspirations des Africains, désireux de valoriser leurs capacités, leur souveraineté et leur potentiel.
Le secrétaire d’État, Marco Rubio, l’a souligné à plusieurs reprises : « L’Amérique d’abord ne signifie pas l’Amérique seule. » Pour atteindre ces objectifs communs, les États-Unis sont convaincus de la nécessité de travailler aux côtés de leurs partenaires africains afin de promouvoir les opportunités économiques, renforcer la coopération sécuritaire et stimuler une croissance partagée sur l’ensemble du continent.
Lors d’une récente visite à Abidjan, le Haut représentant pour l’Afrique, l’ambassadeur Troy Fitrell, a déclaré : « Nous ne voyons plus l’Afrique comme un continent dépendant de l’aide, mais comme un partenaire commercial à part entière. » Le slogan « Du commerce, pas de l’aide », entendu depuis plusieurs années, est désormais au cœur de notre politique africaine. Alors que le Tchad déploie son ambitieux plan Chad Connection 2030, l’on est convaincu que le partenariat entre les États-Unis et le Tchad n’a jamais été aussi crucial.
Porté par une nouvelle vision et riche en opportunités pour les jeunes entrepreneurs et les entreprises tchadiennes, l’avenir de cette relation bilatérale s’annonce prometteur. Pour concrétiser ces ambitions, une volonté politique forte et un engagement sincère en faveur d’un partenariat équilibré et durable sont indispensables des deux côtés. L’on demeure donc confiant dans la solidité et la richesse d’une coopération mutuellement bénéfique à long terme.