L’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) et le Fonds africain de développement (FAD), le guichet concessionnel du Groupe de la Banque africaine de développement, ont conclu, le 16 février 2021, un accord de prêt de 73,6 milliards de yens japonais (668,1 millions de dollars américains) représentant la contribution du Japon à la 15ème reconstitution du Fonds africain de développement.
Au cours d’une cérémonie organisée de façon virtuelle, le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, et l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kuramitsu Hideaki, ont procédé à un échange de notes diplomatiques, l’accord de prêt lui-même étant signé par le représentant principal de la JICA en Côte d’Ivoire, Fujino Kojiro, et la vice-présidente principale du Groupe de la Banque par intérim, Swazi Tshabalala, en sa qualité de directrice financière de l’institution.
L’ambassadeur Kuramitsu Hideaki, dont le pays est le cinquième contributeur le plus important au Fonds en montants cumulés, a déclaré que le prêt faisait partie de l’engagement du Japon à promouvoir le développement des ressources humaines, l’innovation et l’investissement dans le secteur industriel, et à investir dans des infrastructures de qualité pour améliorer la connectivité, comme indiqué lors de la conférence TICAD 7 en août 2019. Le représentant du Japon avait, à cette occasion, annoncé que son pays contribuerait à la phase 4 de l’Initiative d’aide au secteur privé renforcée (EPSA), un projet phare mené en commun par le Japon et le Groupe de la Banque africaine de développement.
« J’espère sincèrement que ce prêt en yen permettra au Fonds africain de développement de procéder à des financements et des subventions à des conditions favorables aux pays africains confrontés à des défis émergents causés par la pandémie de Covid-19, et de contribuer au développement économique et social de ces pays », a déclaré l’ambassadeur japonais.
La 15ème reconstitution du FAD permettra d’effectuer des investissements pour soutenir les pays les plus pauvres de l’Afrique dans le renforcement de la résilience économique et la réduction de la vulnérabilité systémique. Au total, 32 États contribuent au Fonds africain de développement. Le FAD bénéficie à 37 pays africains, y compris des États fragiles qui ont besoin d’un soutien spécial pour assurer des prestations de services de base, ainsi que des pays qui ont connu des taux de croissance plus élevés au cours des dernières années.
Au cours d’une cérémonie organisée de façon virtuelle, le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, et l’ambassadeur du Japon en Côte d’Ivoire, Kuramitsu Hideaki, ont procédé à un échange de notes diplomatiques, l’accord de prêt lui-même étant signé par le représentant principal de la JICA en Côte d’Ivoire, Fujino Kojiro, et la vice-présidente principale du Groupe de la Banque par intérim, Swazi Tshabalala, en sa qualité de directrice financière de l’institution.
L’ambassadeur Kuramitsu Hideaki, dont le pays est le cinquième contributeur le plus important au Fonds en montants cumulés, a déclaré que le prêt faisait partie de l’engagement du Japon à promouvoir le développement des ressources humaines, l’innovation et l’investissement dans le secteur industriel, et à investir dans des infrastructures de qualité pour améliorer la connectivité, comme indiqué lors de la conférence TICAD 7 en août 2019. Le représentant du Japon avait, à cette occasion, annoncé que son pays contribuerait à la phase 4 de l’Initiative d’aide au secteur privé renforcée (EPSA), un projet phare mené en commun par le Japon et le Groupe de la Banque africaine de développement.
« J’espère sincèrement que ce prêt en yen permettra au Fonds africain de développement de procéder à des financements et des subventions à des conditions favorables aux pays africains confrontés à des défis émergents causés par la pandémie de Covid-19, et de contribuer au développement économique et social de ces pays », a déclaré l’ambassadeur japonais.
La 15ème reconstitution du FAD permettra d’effectuer des investissements pour soutenir les pays les plus pauvres de l’Afrique dans le renforcement de la résilience économique et la réduction de la vulnérabilité systémique. Au total, 32 États contribuent au Fonds africain de développement. Le FAD bénéficie à 37 pays africains, y compris des États fragiles qui ont besoin d’un soutien spécial pour assurer des prestations de services de base, ainsi que des pays qui ont connu des taux de croissance plus élevés au cours des dernières années.