Plus de 400 personnes sinistrées, en provenance des quartiers Kamati et Maïngara de la ville de Sarh, ont trouvé refuge dans le lycée après avoir été inondées.
Les conditions de vie des déplacés dans le lycée sont difficiles : ils manquent de moustiquaires, sont confrontés à des problèmes de santé comme le paludisme, la fièvre et la grippe, et souffrent également de la faim car leurs activités de maraîchage ont été inondées.
Le préfet du département du Barh-Kôh, Oumar Ali Nanina, accompagné de l'exécutif de la commune de Sarh, s'est rendu sur place pour évaluer la situation et recueillir les besoins urgents des sinistrés.
Le préfet a indiqué que le comité de prévention et de gestion des inondations a déjà pris des mesures pour venir en aide aux personnes déplacées, car la situation ne peut pas être ignorée.
Certains cas de paludisme ont déjà été signalés parmi les déplacés, ce qui souligne l'urgence de leur venir en aide sur le plan sanitaire et humanitaire.
Les conditions de vie des déplacés dans le lycée sont difficiles : ils manquent de moustiquaires, sont confrontés à des problèmes de santé comme le paludisme, la fièvre et la grippe, et souffrent également de la faim car leurs activités de maraîchage ont été inondées.
Le préfet du département du Barh-Kôh, Oumar Ali Nanina, accompagné de l'exécutif de la commune de Sarh, s'est rendu sur place pour évaluer la situation et recueillir les besoins urgents des sinistrés.
Le préfet a indiqué que le comité de prévention et de gestion des inondations a déjà pris des mesures pour venir en aide aux personnes déplacées, car la situation ne peut pas être ignorée.
Certains cas de paludisme ont déjà été signalés parmi les déplacés, ce qui souligne l'urgence de leur venir en aide sur le plan sanitaire et humanitaire.