Organisé par l’Agence nationale des titres sécurisés (ANATS), en partenariat avec l’ Union européenne, l’atelier réunit 40 participants issus de divers horizons, notamment des chefs d’unités administratives, des leaders traditionnels et religieux, ainsi que des représentants de la société civile. Tous sont engagés dans le processus de modernisation et de gestion de l’état civil au niveau local.
Dans son allocution, le chef de mission, Nassour Mahamat Zène, a salué la présence des participants venus des différents départements de la province. Il a mis en lumière plusieurs défis persistants, notamment l’insuffisance de l’offre de services d’état civil, la mauvaise tenue des archives, et la faible sensibilisation sur l’importance des actes d’état civil. Des enjeux qui, selon lui, nécessitent une attention urgente.
Prenant la parole à son tour, Maab Mara, Secrétaire général de la province du Salamat, a rappelé que le Tchad s’est engagé depuis quelques années dans une vaste réforme de son administration, avec un accent particulier sur la délivrance des titres sécurisés et la modernisation du système d’état civil. Il a souligné que cet atelier vise à former et renforcer les capacités des acteurs clés, afin d’harmoniser les procédures conformément aux textes en vigueur.
Pour conclure, les organisateurs ont rappelé que l’état civil constitue le socle de l’identité juridique et sociale de tout individu, et qu’il représente un droit fondamental reconnu par les conventions internationales et les lois nationales.
Dans son allocution, le chef de mission, Nassour Mahamat Zène, a salué la présence des participants venus des différents départements de la province. Il a mis en lumière plusieurs défis persistants, notamment l’insuffisance de l’offre de services d’état civil, la mauvaise tenue des archives, et la faible sensibilisation sur l’importance des actes d’état civil. Des enjeux qui, selon lui, nécessitent une attention urgente.
Prenant la parole à son tour, Maab Mara, Secrétaire général de la province du Salamat, a rappelé que le Tchad s’est engagé depuis quelques années dans une vaste réforme de son administration, avec un accent particulier sur la délivrance des titres sécurisés et la modernisation du système d’état civil. Il a souligné que cet atelier vise à former et renforcer les capacités des acteurs clés, afin d’harmoniser les procédures conformément aux textes en vigueur.
Pour conclure, les organisateurs ont rappelé que l’état civil constitue le socle de l’identité juridique et sociale de tout individu, et qu’il représente un droit fondamental reconnu par les conventions internationales et les lois nationales.