Le programme répond au "souci des communes se doter d’un cadre de développement adapté aux besoins de la population", explique le secrétaire général permanent de l"association nationale des communes du Tchad, Alifa Dagal Ali. Ces besoins diagnostiqués dans le programme national de développement 2017-2021 sont entre autres "la pauvreté des villes, le manque d’infrastructures urbaines, la faiblesse de l’offre des services municipaux".
Le programme qui vise par conséquent à résorber ces problèmes "est parfaitement en phase avec les valeurs de la démocratie participative chère au FERAM Tchad", explique son président Béguy Djimounoum.
Le projet de trois ans soutiendra les 10 communes de la capitale et 10 autres des provinces dans sa phase d’essai. Les communes choisies sont celles "qui remplissent les critères démocratiques, démographiques et économiques", explique Béguy Djimounoum. Durant l’exécution du projet, chaque commune établira "une liste d’actions prioritaires qui répondent aux besoins primordiaux des populations".
Ensuite, elle formulera clairement les objectifs de développement à moyen terme pour en mobiliser les ressources nécessaires. Un haut comité de pilotage assurera le suivi et l’évaluation du projet. Il est à rappeler que le projet est financé par l’organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Le programme qui vise par conséquent à résorber ces problèmes "est parfaitement en phase avec les valeurs de la démocratie participative chère au FERAM Tchad", explique son président Béguy Djimounoum.
Le projet de trois ans soutiendra les 10 communes de la capitale et 10 autres des provinces dans sa phase d’essai. Les communes choisies sont celles "qui remplissent les critères démocratiques, démographiques et économiques", explique Béguy Djimounoum. Durant l’exécution du projet, chaque commune établira "une liste d’actions prioritaires qui répondent aux besoins primordiaux des populations".
Ensuite, elle formulera clairement les objectifs de développement à moyen terme pour en mobiliser les ressources nécessaires. Un haut comité de pilotage assurera le suivi et l’évaluation du projet. Il est à rappeler que le projet est financé par l’organisation internationale de la Francophonie (OIF).