Suite à un audit réalisé pour évaluer l'impact économique et sécuritaire de la pénétration des signaux étrangers, le DG de l'ARCEP a souligné que cette problématique est récurrente sur le territoire tchadien, en particulier dans la ville de Ndjamena et d'autres villes frontalières.
Hassan Daoussa Hassaballah a expliqué que l'intrusion des signaux des réseaux mobiles des opérateurs étrangers se manifeste par une utilisation active de l'internet et de la voix, ainsi que par la prolifération croissante de points de vente proposant les produits de ces opérateurs étrangers, notamment camerounais. Cette situation engendre des pertes financières significatives pour les opérateurs locaux et pour l'État tchadien.
Hassan Daoussa Hassaballah a expliqué que l'intrusion des signaux des réseaux mobiles des opérateurs étrangers se manifeste par une utilisation active de l'internet et de la voix, ainsi que par la prolifération croissante de points de vente proposant les produits de ces opérateurs étrangers, notamment camerounais. Cette situation engendre des pertes financières significatives pour les opérateurs locaux et pour l'État tchadien.
Il a également mis en garde contre les répercussions négatives sur la sécurité nationale, en particulier les risques élevés d'interception d'appels et d'autres activités malveillantes, résultant de la pénétration des signaux des opérateurs étrangers sur le territoire tchadien.
Cette problématique soulève des préoccupations sérieuses quant à la souveraineté numérique et à la protection des communications dans le pays. L'ARCEP continuera de mener des évaluations pour identifier les mesures nécessaires pour contrôler cette situation et préserver la sécurité nationale.
Cette problématique soulève des préoccupations sérieuses quant à la souveraineté numérique et à la protection des communications dans le pays. L'ARCEP continuera de mener des évaluations pour identifier les mesures nécessaires pour contrôler cette situation et préserver la sécurité nationale.