
Autrefois, avoir de nombreux enfants était considéré comme un signe de richesse et de respect. Aujourd'hui, cela est devenu un symbole de pauvreté et d'incertitude en raison des difficultés d'accès à l'éducation, aux soins de qualité et aux ressources vitales, comme l'eau et la nourriture, causées par le changement climatique.
Pour certaines femmes, moins d'enfants signifie moins de travail domestique et de dépenses. Eveline Nékar, mère de deux enfants, déclare qu'elle a suffisamment de temps pour s'occuper de ses enfants et de son mari sans avoir besoin d'une main-d'œuvre supplémentaire.
Malheureusement, beaucoup d'hommes sont réticents à adopter le planning familial et préfèrent la méthode de l'espacement des naissances. Certaines personnes estiment que c'est la volonté de Dieu qui détermine le nombre d'enfants à avoir, tandis que d'autres soulignent les difficultés financières et les contraintes liées à la prise en charge d'un enfant.
Le planning familial est une question de santé publique, mais il est encore stigmatisé dans un pays où les droits des femmes sont bafoués. Certaines femmes sont contraintes de se plier aux décisions de leur mari. Cependant, le planning familial est un moyen efficace de mieux prendre soin de sa famille. Au Tchad, il reste encore beaucoup à faire pour que cette pratique soit adoptée et promue par le ministère de la santé, l'action sociale et les ONG.
Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), la population du Tchad est passée de 9,5 millions en 2008 à environ 16,2 millions en 2020, soit une augmentation de près de 70% en 12 ans. Cette croissance démographique rapide est principalement due à un taux de fécondité élevé.
À titre de comparaison, en France, la croissance démographique est beaucoup plus faible. Selon l'Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE), la population de la France est passée de 64,3 millions en 2008 à 67,4 millions en 2020, soit une augmentation de 4,8% en 12 ans. Cette croissance démographique modérée est due à un taux de fécondité plus faible et à un taux de mortalité plus élevé comparé à celui du Tchad.
Pour certaines femmes, moins d'enfants signifie moins de travail domestique et de dépenses. Eveline Nékar, mère de deux enfants, déclare qu'elle a suffisamment de temps pour s'occuper de ses enfants et de son mari sans avoir besoin d'une main-d'œuvre supplémentaire.
Malheureusement, beaucoup d'hommes sont réticents à adopter le planning familial et préfèrent la méthode de l'espacement des naissances. Certaines personnes estiment que c'est la volonté de Dieu qui détermine le nombre d'enfants à avoir, tandis que d'autres soulignent les difficultés financières et les contraintes liées à la prise en charge d'un enfant.
Le planning familial est une question de santé publique, mais il est encore stigmatisé dans un pays où les droits des femmes sont bafoués. Certaines femmes sont contraintes de se plier aux décisions de leur mari. Cependant, le planning familial est un moyen efficace de mieux prendre soin de sa famille. Au Tchad, il reste encore beaucoup à faire pour que cette pratique soit adoptée et promue par le ministère de la santé, l'action sociale et les ONG.
Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO), la population du Tchad est passée de 9,5 millions en 2008 à environ 16,2 millions en 2020, soit une augmentation de près de 70% en 12 ans. Cette croissance démographique rapide est principalement due à un taux de fécondité élevé.
À titre de comparaison, en France, la croissance démographique est beaucoup plus faible. Selon l'Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE), la population de la France est passée de 64,3 millions en 2008 à 67,4 millions en 2020, soit une augmentation de 4,8% en 12 ans. Cette croissance démographique modérée est due à un taux de fécondité plus faible et à un taux de mortalité plus élevé comparé à celui du Tchad.