Depuis des années, le football tchadien évolue au pas de caméléon. Mais la question qui se pose est de savoir si les footballeurs locaux vivent de leur sport ? Ont-ils un salaire ? Une couverture médicale ? Plusieurs interrogations sans une réponse.
En effet, le rêve de tout footballeur tchadien est d’aller jouer ailleurs, dans l’espoir de gagner plus. Leurs clubs respectifs ne sont pas capables de leur payer des salaires décents. Beaucoup ne vivent pas de leur prestation footballistique. Bien que beaucoup des joueurs locaux ne veulent pas dévoiler ce qu'il gagne à la fin du mois.
Sous couvert d'anonymat, un joueur de Renaissance Football Club (RFC), un des plus anciennes équipes de Ndjamena déclare : « il est rare de voir un joueur local, payé mensuellement à 80.000 FCFA, nombreux sont les footballeurs qui touchent moins de cela, malgré que les conditions de vie soient difficiles.
Certains d'entre nous sont des joueurs en journée et « clandoman » la nuit, pour joindre les deux bouts ». Beaucoup de clubs ne bénéficient pas de sponsors et n’ont aucune cotisation des supporters. Difficile d'assurer les besoins de leurs joueurs. C'est pourquoi, pour la majorité des Tchadiens, un joueur local est parent de la pauvreté.
Toutefois, certains clubs ont des moyens financiers, car elles appartiennent à des entités. Sauf que le salaire d'un joueur est estimé à 75000 FCFA, en dehors des primes des matchs et les soins lors de blessure. C'est pourquoi l'on constate que la majorité des footballeurs tchadiens locaux n'ont pas une retraite dorée. Beaucoup à la fin de leur carrière, constituent une autre charge pour leurs familles.
En effet, le rêve de tout footballeur tchadien est d’aller jouer ailleurs, dans l’espoir de gagner plus. Leurs clubs respectifs ne sont pas capables de leur payer des salaires décents. Beaucoup ne vivent pas de leur prestation footballistique. Bien que beaucoup des joueurs locaux ne veulent pas dévoiler ce qu'il gagne à la fin du mois.
Sous couvert d'anonymat, un joueur de Renaissance Football Club (RFC), un des plus anciennes équipes de Ndjamena déclare : « il est rare de voir un joueur local, payé mensuellement à 80.000 FCFA, nombreux sont les footballeurs qui touchent moins de cela, malgré que les conditions de vie soient difficiles.
Certains d'entre nous sont des joueurs en journée et « clandoman » la nuit, pour joindre les deux bouts ». Beaucoup de clubs ne bénéficient pas de sponsors et n’ont aucune cotisation des supporters. Difficile d'assurer les besoins de leurs joueurs. C'est pourquoi, pour la majorité des Tchadiens, un joueur local est parent de la pauvreté.
Toutefois, certains clubs ont des moyens financiers, car elles appartiennent à des entités. Sauf que le salaire d'un joueur est estimé à 75000 FCFA, en dehors des primes des matchs et les soins lors de blessure. C'est pourquoi l'on constate que la majorité des footballeurs tchadiens locaux n'ont pas une retraite dorée. Beaucoup à la fin de leur carrière, constituent une autre charge pour leurs familles.