
Face à l'absence de politiques d'assistance sociale, ces personnes âgées bravent le soleil de N'Djamena pour quémander de l'aide. Bien que certains leur viennent en aide de différentes manières (nourriture, argent, vêtements), de nombreux observateurs pensent initialement qu'ils viennent de pays étrangers, notamment du Niger. Cependant, il est évident que la majorité d'entre eux sont des Tchadiens originaires de différentes provinces du pays.
À l'entrée du marché de Dembé, on peut voir une personne âgée assise, la main tendue en quête d'aumône. Cette personne refuse de parler beaucoup de sa situation, mais elle explique en langue arabe locale : "Mes enfants sont au village, je suis Tchadien". Cela prouve clairement que ces personnes âgées sont laissées à elles-mêmes. Pourtant, les écrits saints considèrent les personnes âgées comme des signes de bénédiction, sans lien avec le progrès scientifique. Mais il semble que l'autonomie de ces personnes soit difficile à maintenir.
Il ne s'agit pas seulement de ressentir de la compassion et de donner une pièce de 100 francs aux personnes âgées, mais plutôt de comprendre que la mendicité chez les personnes âgées est un problème social qui nécessite une solution. Au Tchad, il manque une politique en faveur des personnes âgées, notamment des structures d'accueil, une prise en charge médicale, et bien d'autres choses. Les dirigeants ne manifestent aucune solidarité envers ces personnes. Bien qu'il existe des dispositions pour aider les personnes vulnérables, telles que les personnes âgées, les handicapés, les veuves et les orphelins, ces personnes âgées continuent de mendier.
Pour éradiquer ce phénomène de mendicité chez les personnes âgées, il faut des moyens et des actions concrètes. Il ne faut pas attendre la Journée internationale des personnes âgées pour faire des déclarations médiatiques visant à embellir leur triste réalité. Même si nous ne le souhaitons pas, le vieillissement est inéluctable pour tous. Donc, à tour de rôle, chacun finit par passer chez le coiffeur.
À l'entrée du marché de Dembé, on peut voir une personne âgée assise, la main tendue en quête d'aumône. Cette personne refuse de parler beaucoup de sa situation, mais elle explique en langue arabe locale : "Mes enfants sont au village, je suis Tchadien". Cela prouve clairement que ces personnes âgées sont laissées à elles-mêmes. Pourtant, les écrits saints considèrent les personnes âgées comme des signes de bénédiction, sans lien avec le progrès scientifique. Mais il semble que l'autonomie de ces personnes soit difficile à maintenir.
Il ne s'agit pas seulement de ressentir de la compassion et de donner une pièce de 100 francs aux personnes âgées, mais plutôt de comprendre que la mendicité chez les personnes âgées est un problème social qui nécessite une solution. Au Tchad, il manque une politique en faveur des personnes âgées, notamment des structures d'accueil, une prise en charge médicale, et bien d'autres choses. Les dirigeants ne manifestent aucune solidarité envers ces personnes. Bien qu'il existe des dispositions pour aider les personnes vulnérables, telles que les personnes âgées, les handicapés, les veuves et les orphelins, ces personnes âgées continuent de mendier.
Pour éradiquer ce phénomène de mendicité chez les personnes âgées, il faut des moyens et des actions concrètes. Il ne faut pas attendre la Journée internationale des personnes âgées pour faire des déclarations médiatiques visant à embellir leur triste réalité. Même si nous ne le souhaitons pas, le vieillissement est inéluctable pour tous. Donc, à tour de rôle, chacun finit par passer chez le coiffeur.