La rencontre a rassemblé plus d’un millier de fidèles musulmans venus de divers horizons, notamment des villages de la sous-préfecture d’Ardo, des localités voisines, ainsi que de Kerfi dans la province du Sila et d’Am-Dam dans le Ouaddaï. Hommes, jeunes et anciens ont convergé vers le site de la cérémonie, unis par une même foi et une aspiration commune : implorer la miséricorde divine pour un Tchad apaisé, uni et prospère.
La cérémonie s’est déroulée en présence des autorités administratives locales, du chef de canton Kibet Soum-Soum, Brahim Bakhit, du représentant du chef de canton Kibet Angrep, ainsi que de plusieurs leaders communautaires issus des milieux nomades et semi-nomades. Leur participation témoigne de l’importance accordée à cette initiative religieuse et de la volonté collective de renforcer les liens intercommunautaires dans une région où la cohésion sociale demeure un enjeu majeur.
Au cœur de l’événement, la récitation de 1 800 lectures du Saint Coran a constitué un moment intense de recueillement et de communion. À travers ces invocations, les participants ont prié pour la fin des conflits, la consolidation de la paix et une stabilité durable sur l’ensemble du territoire national.
Saluant la forte mobilisation des populations, le sous-préfet Bichara Brahim Bakhit a rappelé que cette cérémonie s’inscrit dans une dynamique de renforcement des valeurs spirituelles et citoyennes.
« Le Tchad a besoin de paix, de solidarité et de dialogue. C’est par la foi, la tolérance et l’unité que nous pourrons bâtir un avenir meilleur », a-t-il déclaré.
En initiant et en pérennisant cette cérémonie annuelle, les autorités locales d’Ardo entendent faire de la spiritualité un levier de cohésion sociale et de prévention des tensions. Dans un pays confronté à de multiples défis, de telles initiatives contribuent à ancrer la culture de la paix et à promouvoir un vivre-ensemble harmonieux entre les différentes composantes de la société tchadienne.
La cérémonie s’est déroulée en présence des autorités administratives locales, du chef de canton Kibet Soum-Soum, Brahim Bakhit, du représentant du chef de canton Kibet Angrep, ainsi que de plusieurs leaders communautaires issus des milieux nomades et semi-nomades. Leur participation témoigne de l’importance accordée à cette initiative religieuse et de la volonté collective de renforcer les liens intercommunautaires dans une région où la cohésion sociale demeure un enjeu majeur.
Au cœur de l’événement, la récitation de 1 800 lectures du Saint Coran a constitué un moment intense de recueillement et de communion. À travers ces invocations, les participants ont prié pour la fin des conflits, la consolidation de la paix et une stabilité durable sur l’ensemble du territoire national.
Saluant la forte mobilisation des populations, le sous-préfet Bichara Brahim Bakhit a rappelé que cette cérémonie s’inscrit dans une dynamique de renforcement des valeurs spirituelles et citoyennes.
« Le Tchad a besoin de paix, de solidarité et de dialogue. C’est par la foi, la tolérance et l’unité que nous pourrons bâtir un avenir meilleur », a-t-il déclaré.
En initiant et en pérennisant cette cérémonie annuelle, les autorités locales d’Ardo entendent faire de la spiritualité un levier de cohésion sociale et de prévention des tensions. Dans un pays confronté à de multiples défis, de telles initiatives contribuent à ancrer la culture de la paix et à promouvoir un vivre-ensemble harmonieux entre les différentes composantes de la société tchadienne.
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Tchad : Au Salamat, une grande cérémonie de lecture coranique pour la paix et la cohésion sociale







