La cérémonie a réuni une audience diverse, incluant le Délégué Général du gouvernement, des autorités administratives, éducatives, civiles et militaires, des représentants d'ONG et de la société civile, ainsi que de nombreux jeunes et femmes.
Pendant une semaine, 82 participants – élèves, étudiants, entrepreneurs et jeunes passionnés par la prise de parole en public – ont bénéficié de cette formation intensive dispensée par l'Académie du Savoir-faire.
Le Coordonnateur de l'ONG de femmes (OFD), Djidda Choukou Kelli, et le Premier Adjoint au Maire de la commune, Mahamat Abakar, ont tour à tour exprimé leur gratitude envers le centre de l'Académie du Savoir-faire pour son travail dans la formation des jeunes. Ils ont encouragé les jeunes à s'intéresser davantage à ces formations variées pour devenir les leaders de demain.
Dans son discours, la PDG de l'Académie, Achta Adoum Saleh, a rendu un hommage appuyé à l'engagement du Président de l'Assemblée Nationale, Ali Kolotou Tchaimi, qui a soutenu cette formation de bout en bout. Elle a également remercié toutes les autorités locales, notamment les députés et la Sénatrice, pour leur soutien et leur parrainage des jeunes apprenants. Achta Adoum Saleh a aussi salué les efforts de l'ONG de femmes et de l'Initiative des Jeunes pour le Développement Éducatif, qu'elle a qualifiés de "pièces charnières de cette réussite".
Les apprenants ont ensuite réalisé des démonstrations de prise de parole en public, dont les prestations ont vivement impressionné l'auditoire. La cérémonie s'est conclue par une remise symbolique des attestations.
Le Délégué Général du gouvernement auprès de la province du Barh El Gazel, Abdelaziz Tchanglang Tokama, a félicité l'Académie du Savoir-faire, l'honorable Ali Kolotou Tchaimi et tous les responsables. Il a souligné que cette formation est "un tremplin pour les jeunes de s'imposer à travers la prise de parole", ajoutant que la province est "un berceau de talent et d'excellence". Il a enfin exhorté tous les jeunes à être des ambassadeurs du Savoir-faire, car "la grandeur se cultive, se mérite et elle ne se décrète pas".