Cette annonce a été faite à l’occasion d’une visite d’inspection aux centres d’enregistrement et d’enrôlement des documents administratifs des véhicules, situés à Sabangali et Paris-Congo. Le ministre était accompagné de l’Inspecteur général Ismaïl Mansour et de son conseiller à la coopération internationale, Oumar Adoudou Zaïd.
Dès son arrivée, le ministre a procédé à une inspection minutieuse des installations. Il a échangé directement avec les agents du Système national de la police de l’immigration et de la sécurité (SYNPIS), ainsi qu’avec les usagers. Bien que la mobilisation ait été saluée, le ministre a relevé des insuffisances, notamment au niveau de l’accueil, jugé perfectible. Il a exigé une révision rapide des installations pour améliorer l’efficacité du dispositif.
Au centre de Paris-Congo, il a constaté la même dynamique et insisté une fois encore sur les principes de rigueur, transparence et célérité qui doivent guider l'opération.
À l’issue de sa visite, le Général Aghabache a déclaré : « L’enrôlement des données administratives est une nécessité. C’est un outil crucial pour identifier les fraudeurs et lutter contre la circulation de faux documents. Cette opération est obligatoire pour tous, sans distinction. Elle relève de la sécurité publique nationale. »
Tenant compte des doléances exprimées par les usagers, notamment les petits propriétaires, un sursis de deux semaines a été accordé exclusivement aux petits véhicules. Les gros porteurs, eux, restent soumis au calendrier initial.
Avant de quitter les lieux, le ministre a lancé un appel à la responsabilité citoyenne : « J’exhorte chacun à se faire enregistrer dans les délais. Il en va de la sécurité de tous. »
Avec cette nouvelle échéance, SYNPIS poursuit sa marche vers un système plus fiable et sécurisé, où chaque véhicule est identifié, chaque document vérifié, et où l’État reprend le contrôle d’un secteur longtemps laissé à la dérive.
Dès son arrivée, le ministre a procédé à une inspection minutieuse des installations. Il a échangé directement avec les agents du Système national de la police de l’immigration et de la sécurité (SYNPIS), ainsi qu’avec les usagers. Bien que la mobilisation ait été saluée, le ministre a relevé des insuffisances, notamment au niveau de l’accueil, jugé perfectible. Il a exigé une révision rapide des installations pour améliorer l’efficacité du dispositif.
Au centre de Paris-Congo, il a constaté la même dynamique et insisté une fois encore sur les principes de rigueur, transparence et célérité qui doivent guider l'opération.
À l’issue de sa visite, le Général Aghabache a déclaré : « L’enrôlement des données administratives est une nécessité. C’est un outil crucial pour identifier les fraudeurs et lutter contre la circulation de faux documents. Cette opération est obligatoire pour tous, sans distinction. Elle relève de la sécurité publique nationale. »
Tenant compte des doléances exprimées par les usagers, notamment les petits propriétaires, un sursis de deux semaines a été accordé exclusivement aux petits véhicules. Les gros porteurs, eux, restent soumis au calendrier initial.
Avant de quitter les lieux, le ministre a lancé un appel à la responsabilité citoyenne : « J’exhorte chacun à se faire enregistrer dans les délais. Il en va de la sécurité de tous. »
Avec cette nouvelle échéance, SYNPIS poursuit sa marche vers un système plus fiable et sécurisé, où chaque véhicule est identifié, chaque document vérifié, et où l’État reprend le contrôle d’un secteur longtemps laissé à la dérive.