Tchad : Le Ministre chargé des droits de l'homme répond aux questions d'Alwihda

Le silence des autorités sur le cas de Ibni Oumar et pourquoi les résultats de la Commission nationale d’enquête de 2008 n’ont pas été mises en œuvre. Y a-t-il des obstacles dans ce domaine ? La réponse du Tchad sur le rapport l’accusant des violations des droits de l’Homme?

Abderaman Djasnabaye : La situation s’améliore. Plusieurs personnes ont disparu et c’est le moment de rendre un hommage à tous ceux-là, notamment les forces de défenses et de sécurité qui sont mortes en voulant défendre l’intégrité du pays. Sans oublier les morts des personnes innocentes. Une commission internationale est mise sur pied et a rendu public son rapport. Un autre comité de suivi a été créé par le gouvernement avec ses différents démembrements. La justice fait son travail pour qu’une lumière soit faite. Il n y a pas que ça, la violence d’une façon générale est sous plusieurs formes dans la société. On peut citer entre autres des violences liées à la vie conjugale particulièrement dans le monde rural. À ce niveau également, des efforts sont consentis par le gouvernement.

Abderaman Djasnabaye : La situation s’améliore. Plusieurs personnes ont disparu et c’est le moment de rendre un hommage à tous ceux-là, notamment les forces de défenses et de sécurité qui sont mortes en voulant défendre l’intégrité du pays. Sans oublier les morts des personnes innocentes. Une commission internationale est mise sur pied et a rendu public son rapport. Un autre comité de suivi a été créé par le gouvernement avec ses différents démembrements. La justice fait son travail pour qu’une lumière soit faite. Il n y a pas que ça, la violence d’une façon générale est sous plusieurs formes dans la société. On peut citer entre autres des violences liées à la vie conjugale particulièrement dans le monde rural. À ce niveau également, des efforts sont consentis par le gouvernement.

A lire sur les colonnes du journal Alwihda paru à N'djamena