Dans une déclaration, le secrétaire général du comité des déguerpis de Farcha Majorio 3, M. Abdallah Abakar, a rappelé : « Nous avons été déguerpis en 2008, de manière illégale et sans ordre de mission, dans des conditions anarchiques. À l'époque, c’est la mairie du 1ᵉʳ arrondissement qui a procédé au déguerpissement. Nous avons alors engagé une procédure judiciaire. Après un long processus, la justice a reconnu en 2017 que ce déguerpissement était sans fondement, et a rendu un verdict ordonnant notre réintégration sur nos parcelles. »
Cependant, les habitants déplorent qu’en dépit de cette décision de justice, la mairie actuelle du 1ᵉʳ arrondissement continue de leur refuser l’accès à leurs parcelles.
« Lorsque nous avons tenté de nous réinstaller, le maire s’est opposé et a même déclaré ouvertement que la justice est corrompue et qu’il ne reconnaîtra pas ses décisions », a poursuivi M. Abdallah.
Il ajoute que récemment, certains habitants ont tenté de construire sur leurs terrains, mais les constructions ont été démolies à l’aide d’un bulldozer envoyé par la mairie.
Les habitants demandent l’intervention urgente du Président de la République, le Maréchal du Tchad, garant de la loi et des droits des citoyens.
« Nous voulons simplement que justice soit rendue et que les droits des citoyens soient respectés. Il est regrettable de voir certaines autorités locales agir comme si elles étaient au-dessus de la loi. »
Cependant, les habitants déplorent qu’en dépit de cette décision de justice, la mairie actuelle du 1ᵉʳ arrondissement continue de leur refuser l’accès à leurs parcelles.
« Lorsque nous avons tenté de nous réinstaller, le maire s’est opposé et a même déclaré ouvertement que la justice est corrompue et qu’il ne reconnaîtra pas ses décisions », a poursuivi M. Abdallah.
Il ajoute que récemment, certains habitants ont tenté de construire sur leurs terrains, mais les constructions ont été démolies à l’aide d’un bulldozer envoyé par la mairie.
Les habitants demandent l’intervention urgente du Président de la République, le Maréchal du Tchad, garant de la loi et des droits des citoyens.
« Nous voulons simplement que justice soit rendue et que les droits des citoyens soient respectés. Il est regrettable de voir certaines autorités locales agir comme si elles étaient au-dessus de la loi. »