L’événement a rassemblé un public nombreux composé de proches, amis, passionnés de littérature et acteurs du monde culturel, venus témoigner leur soutien à l’auteur.
Parcours de l’auteur
Né le 21 juillet 1995 à Koyom, dans le sud du Tchad, Wating Yodé Gogne a obtenu un baccalauréat littéraire en 2014. Il poursuit ses études à l’Université de N’Djamena où il décroche une licence en administration et planification de l’éducation, ainsi qu’un DIPES I en Français à l’École Normale Supérieure, en 2018.
Il prolonge son cursus à l’Université de Yaoundé I (Cameroun), où il obtient en 2023 un master en management de l’éducation, spécialité conception de projets éducatifs. Il est également diplômé en journalisme de données de l’Université virtuelle du Burkina Faso et blogueur sur Mondoblog, la plateforme francophone portée par L’Atelier des médias de RFI.
Enseignant de français, animateur éducatif et activiste environnemental, il est lauréat du Prix littéraire des Plumes africaines 2024 et du Prix d’innovation de l’Agence panafricaine de la Grande Muraille Verte.
À propos du roman
Composé de 97 pages, L’Oncle de sang est une fresque narrative qui retrace les vicissitudes d’une famille africaine sur plusieurs générations. L’intrigue se déroule dans un village imaginaire, reflet des réalités des sociétés traditionnelles africaines.
Le roman aborde des thèmes universels et profonds : famille, héritage, pouvoir, exil, trahison, ascension sociale et déclin politique. Le personnage central, l’oncle, oscille entre figure protectrice et menace latente, incarnant les contradictions des liens du sang.
Divisé en trois parties — la famille, l’avenir et l’héritage —, l’ouvrage met en lumière les tensions entre solidarité familiale et ambitions personnelles. À travers une plume évocatrice et ancrée dans la culture orale, l’auteur questionne le poids des traditions, la corruption politique, et la fragilité des repères dans les sociétés africaines contemporaines.
Une œuvre saluée par la critique
Dans sa lecture critique, Dr Aimé Badjan estime que le titre du roman est à la fois évocateur et symbolique, reflétant les tiraillements d’une société entre tradition et modernité. Il souligne la pertinence des thématiques abordées — transmission, rupture, identité — et salue l’usage habile des proverbes et sagesses africaines. Il qualifie l’œuvre d’« engagement littéraire fort » et de véritable contribution au débat social et culturel.
Le mot de l’auteur
Prenant la parole, Wating Yodé Gogne est revenu sur les motivations de son œuvre. Il a souligné le rôle ambivalent de l’oncle dans les sociétés africaines — à la fois mentor, autorité morale et parfois rival — et insisté sur l’importance de la tolérance au sein du noyau familial : « La famille, c’est avant tout une histoire de liens de sang. »
Il a également évoqué les ressemblances culturelles et la connexion ancestrale entre les peuples d’Afrique centrale et ceux du Sahel, soulignant le besoin de cohésion, d’unité et de transmission des valeurs.
Enfin, l’auteur a exprimé sa gratitude envers sa famille, ses amis, ses lecteurs et soutiens, espérant que son roman contribuera à éveiller les consciences et à stimuler une réflexion critique sur les dynamiques familiales et sociales en Afrique.
Parcours de l’auteur
Né le 21 juillet 1995 à Koyom, dans le sud du Tchad, Wating Yodé Gogne a obtenu un baccalauréat littéraire en 2014. Il poursuit ses études à l’Université de N’Djamena où il décroche une licence en administration et planification de l’éducation, ainsi qu’un DIPES I en Français à l’École Normale Supérieure, en 2018.
Il prolonge son cursus à l’Université de Yaoundé I (Cameroun), où il obtient en 2023 un master en management de l’éducation, spécialité conception de projets éducatifs. Il est également diplômé en journalisme de données de l’Université virtuelle du Burkina Faso et blogueur sur Mondoblog, la plateforme francophone portée par L’Atelier des médias de RFI.
Enseignant de français, animateur éducatif et activiste environnemental, il est lauréat du Prix littéraire des Plumes africaines 2024 et du Prix d’innovation de l’Agence panafricaine de la Grande Muraille Verte.
À propos du roman
Composé de 97 pages, L’Oncle de sang est une fresque narrative qui retrace les vicissitudes d’une famille africaine sur plusieurs générations. L’intrigue se déroule dans un village imaginaire, reflet des réalités des sociétés traditionnelles africaines.
Le roman aborde des thèmes universels et profonds : famille, héritage, pouvoir, exil, trahison, ascension sociale et déclin politique. Le personnage central, l’oncle, oscille entre figure protectrice et menace latente, incarnant les contradictions des liens du sang.
Divisé en trois parties — la famille, l’avenir et l’héritage —, l’ouvrage met en lumière les tensions entre solidarité familiale et ambitions personnelles. À travers une plume évocatrice et ancrée dans la culture orale, l’auteur questionne le poids des traditions, la corruption politique, et la fragilité des repères dans les sociétés africaines contemporaines.
Une œuvre saluée par la critique
Dans sa lecture critique, Dr Aimé Badjan estime que le titre du roman est à la fois évocateur et symbolique, reflétant les tiraillements d’une société entre tradition et modernité. Il souligne la pertinence des thématiques abordées — transmission, rupture, identité — et salue l’usage habile des proverbes et sagesses africaines. Il qualifie l’œuvre d’« engagement littéraire fort » et de véritable contribution au débat social et culturel.
Le mot de l’auteur
Prenant la parole, Wating Yodé Gogne est revenu sur les motivations de son œuvre. Il a souligné le rôle ambivalent de l’oncle dans les sociétés africaines — à la fois mentor, autorité morale et parfois rival — et insisté sur l’importance de la tolérance au sein du noyau familial : « La famille, c’est avant tout une histoire de liens de sang. »
Il a également évoqué les ressemblances culturelles et la connexion ancestrale entre les peuples d’Afrique centrale et ceux du Sahel, soulignant le besoin de cohésion, d’unité et de transmission des valeurs.
Enfin, l’auteur a exprimé sa gratitude envers sa famille, ses amis, ses lecteurs et soutiens, espérant que son roman contribuera à éveiller les consciences et à stimuler une réflexion critique sur les dynamiques familiales et sociales en Afrique.