A tort ou à raison, ces enfants dont l’étiquette, « sans domicile fixe », est collée à leur peau, sont ceux ont quitté la concession familiale pour trouver refuge dans certains coins de la ville. Ils sont rès nombreux dans certains arrondissements de la capitale du Tchad : du Klemat à Djambal bar dans et marché central le 2ème arrondissement, de Ambasanat à Kabalaye dans le 3ème arrondissement, du marché à mil dans le 5ème arrondissement, progressivement à Moursal, le marché de Dembé dans le 6ème arrondissement, à Chagoua dans le 7ème arrondissement. Ils sont souvent devant les alimentations, marchés, restaurants, parfois pour quémander ou voler afin de subvenir à leur quotidien.
Ces enfants dont la parenté est la rue, sèment la terreur pour les uns, surtout au marché de Dembé. Depuis un certain temps, un groupe de personnes leur apprend la danse, enfin pour leur faire comprendre qu'ils ont une seconde chance. Et des voix s'élèvent de partout pour encourager l'entrepreneuriat féminin et l'insertion des filles mères et diplômés sans emploi. Ces enfants ont besoin d'une main tendue pour reprendre le droit chemin. Certes, beaucoup prennent des stupéfiants leur rendant incontrôlables, cependant, certains d'entre eux regrettent la vie qu'ils mènent.
Si certains les considèrent comme des ratés de la société, il n’en demeure pas moins vrai qu’ils sont aussi une véritable main d'œuvre pour le développement. Il suffit de créer un centre de réinsertion de ces enfants qui grandissent dans la rue sans avenir. Les concernés doivent songer à cela, car ces enfants sont utiles dans tous les domaines. Aujourd'hui, des milliards sont injectés dans des projets, sans résultat concret. Mais en apprenant quelques activités comme la peinture, la menuiserie, la coiffure, le football, la danse, la poterie, et autres, ils seront utiles pour leurs familles et pour la société toute entière.
Ces enfants dont la parenté est la rue, sèment la terreur pour les uns, surtout au marché de Dembé. Depuis un certain temps, un groupe de personnes leur apprend la danse, enfin pour leur faire comprendre qu'ils ont une seconde chance. Et des voix s'élèvent de partout pour encourager l'entrepreneuriat féminin et l'insertion des filles mères et diplômés sans emploi. Ces enfants ont besoin d'une main tendue pour reprendre le droit chemin. Certes, beaucoup prennent des stupéfiants leur rendant incontrôlables, cependant, certains d'entre eux regrettent la vie qu'ils mènent.
Si certains les considèrent comme des ratés de la société, il n’en demeure pas moins vrai qu’ils sont aussi une véritable main d'œuvre pour le développement. Il suffit de créer un centre de réinsertion de ces enfants qui grandissent dans la rue sans avenir. Les concernés doivent songer à cela, car ces enfants sont utiles dans tous les domaines. Aujourd'hui, des milliards sont injectés dans des projets, sans résultat concret. Mais en apprenant quelques activités comme la peinture, la menuiserie, la coiffure, le football, la danse, la poterie, et autres, ils seront utiles pour leurs familles et pour la société toute entière.