Selon lui, malgré une initiative lancée depuis le 25 novembre 2024 par les ministres en charge du Pétrole, de la Fonction publique et de la Concertation sociale, et la transmission officielle du projet de convention aux sociétés pétrolières, la CNPCIC — principal acteur chinois du secteur — fait preuve de réticence et freine volontairement le processus.
Les négociations, initialement prévues pour durer deux semaines, sont aujourd’hui dans l’impasse. Djegolmem Célestin évoque une « mauvaise foi manifeste » de la part de la CNPCIC, qui, malgré plusieurs relances et la visite de la Direction générale du Travail, refuse de respecter les délais et les étapes prévues. Il affirme que la société aurait notamment ignoré des missions d’inspection diligentées par le gouvernement et boycotté plusieurs réunions tripartites avec les syndicats et les ressources humaines.
« Nous assistons tous les jours au développement des projets pétroliers sur les différents sites, mais sans bénéfice réel pour les travailleurs tchadiens », a-t-il déclaré, ajoutant que pendant que les profits sont massivement rapatriés en Chine, les conditions de travail locales demeurent précaires.
Face à ce blocage, les syndicats posent un ultimatum : ils exigent la reprise immédiate des négociations sous la coordination de la CNPCIC, avec l’ouverture des discussions dans un délai de deux semaines à compter de ce jour.
À défaut, ils annoncent qu’ils tiendront la CNPCIC seule responsable des conséquences sociales et économiques qui pourraient en découler.
La déclaration s’est conclue par un appel à la responsabilité collective et à la solidarité syndicale : « S’unir dans la diversité, sans adversité ! », a martelé Djegolmem Célestin devant la presse.
Les négociations, initialement prévues pour durer deux semaines, sont aujourd’hui dans l’impasse. Djegolmem Célestin évoque une « mauvaise foi manifeste » de la part de la CNPCIC, qui, malgré plusieurs relances et la visite de la Direction générale du Travail, refuse de respecter les délais et les étapes prévues. Il affirme que la société aurait notamment ignoré des missions d’inspection diligentées par le gouvernement et boycotté plusieurs réunions tripartites avec les syndicats et les ressources humaines.
« Nous assistons tous les jours au développement des projets pétroliers sur les différents sites, mais sans bénéfice réel pour les travailleurs tchadiens », a-t-il déclaré, ajoutant que pendant que les profits sont massivement rapatriés en Chine, les conditions de travail locales demeurent précaires.
Face à ce blocage, les syndicats posent un ultimatum : ils exigent la reprise immédiate des négociations sous la coordination de la CNPCIC, avec l’ouverture des discussions dans un délai de deux semaines à compter de ce jour.
À défaut, ils annoncent qu’ils tiendront la CNPCIC seule responsable des conséquences sociales et économiques qui pourraient en découler.
La déclaration s’est conclue par un appel à la responsabilité collective et à la solidarité syndicale : « S’unir dans la diversité, sans adversité ! », a martelé Djegolmem Célestin devant la presse.