Cette Journée internationale des femmes dans la diplomatie, célébrée chaque 24 juin, a été dédiée à la 76e session de l'Assemblée générale, selon les informations fournies par Neloumnaye Yena Cristelle, présidente du comité d'organisation.
Bello Yerima Yaya, coordinateur de l'association Young Diplomats, a rendu hommage à toutes les femmes diplomates qui jouent un rôle clé dans la mise en œuvre de la politique étrangère. Pour lui, l'implication des femmes dans le processus de consolidation de la paix s'est révélée essentielle sur le terrain, contribuant ainsi à une réussite à long terme. Il souligne également que la diplomatie reste un domaine essentiellement masculin, comme en témoignent les chiffres fournis par l'ONU : entre 1992 et 2019, les femmes ne représentaient que 13 % des négociateurs, 6 % des médiateurs et 6 % des signataires dans les processus de paix à travers le monde.
Lors des débats portant sur l'importance des femmes dans la diplomatie et leur inclusion dans le processus de consolidation de la paix, les panélistes ainsi que les participants et les participantes se sont penchés sur les obstacles qui empêchent les femmes de s'affirmer et de s'imposer. Parmi ces obstacles figurent l'orgueil masculin, la timidité des femmes, les contraintes socioculturelles et l'influence parentale.
Afin de surmonter ces obstacles, des propositions ont été faites pour inciter le gouvernement à revoir sa politique en matière d'égalité des genres. Certains ont même proposé la nomination d'une femme à la tête du gouvernement ou du ministère des Affaires étrangères, dans le but d'encourager la participation des femmes dans les relations internationales et la diplomatie.
Bello Yerima Yaya, coordinateur de l'association Young Diplomats, a rendu hommage à toutes les femmes diplomates qui jouent un rôle clé dans la mise en œuvre de la politique étrangère. Pour lui, l'implication des femmes dans le processus de consolidation de la paix s'est révélée essentielle sur le terrain, contribuant ainsi à une réussite à long terme. Il souligne également que la diplomatie reste un domaine essentiellement masculin, comme en témoignent les chiffres fournis par l'ONU : entre 1992 et 2019, les femmes ne représentaient que 13 % des négociateurs, 6 % des médiateurs et 6 % des signataires dans les processus de paix à travers le monde.
Lors des débats portant sur l'importance des femmes dans la diplomatie et leur inclusion dans le processus de consolidation de la paix, les panélistes ainsi que les participants et les participantes se sont penchés sur les obstacles qui empêchent les femmes de s'affirmer et de s'imposer. Parmi ces obstacles figurent l'orgueil masculin, la timidité des femmes, les contraintes socioculturelles et l'influence parentale.
Afin de surmonter ces obstacles, des propositions ont été faites pour inciter le gouvernement à revoir sa politique en matière d'égalité des genres. Certains ont même proposé la nomination d'une femme à la tête du gouvernement ou du ministère des Affaires étrangères, dans le but d'encourager la participation des femmes dans les relations internationales et la diplomatie.