À l'approche de la saison sèche, et avec l'arrivée des légumes cultivés pendant la saison des pluies, de nombreux hommes, femmes et enfants se retrouvent à l'hôpital. Cependant, par manque de moyens, certaines personnes restent chez elles et utilisent des remèdes traditionnels.
En effet, le paludisme est une maladie infectieuse tropicale causée par un parasite transmis par la piqûre de certains moustiques (anophèles), et qui provoque des accès de fièvre (typhoïde, chronique, etc.).
À N'Djamena, beaucoup de personnes se soignent elles-mêmes, sans consulter de médecin. Pourtant, elles ne sont ni médecins, ni infirmiers. La meilleure approche consiste à consulter un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic et des médicaments appropriés.
Achta Kelly, médecin à l'hôpital Tchad-Chine, a affirmé : "Le paludisme peut être grave et même entraîner la mort s'il n'est pas bien traité. C'est une maladie infectieuse potentiellement mortelle, mais il est possible de s'en protéger et de guérir. Elle est contractée suite à la piqûre d'un moustique femelle infecté."
Où se développe le paludisme dans le corps ?
Une fois dans le sang, le parasite se dirige vers les cellules du foie pour s'y multiplier. Les nouveaux micro-organismes ainsi produits attaquent ensuite les globules rouges, où ils se multiplient à nouveau. Cette infection finit par détruire les cellules sanguines.
Comment reconnaître le paludisme ?
Le paludisme peut se manifester par des maux de tête, des douleurs musculaires, une faiblesse générale, des nausées, des vomissements et parfois de la diarrhée. Les cycles de la maladie alternent entre des phases de fièvre et des phases de tremblements, de sueurs froides, de transpiration intense et de somnolence. La périodicité de ces cycles dépend du type de parasite en cause et coïncide avec sa multiplication et l’éclatement des globules rouges, a-t-elle expliqué.
Il est essentiel de veiller à ce que l'environnement soit propre, car le paludisme se développe dans des environnements insalubres. Pour se protéger, il est recommandé d'utiliser des barrières physiques, comme les moustiquaires imprégnées d'insecticides. Les femmes, en particulier, veillent à ce que ces mesures soient appliquées à la maison.
Par ailleurs, il est nécessaire que le gouvernement prenne certaines mesures pour aider la population en sensibilisant les citoyens aux risques du paludisme. Le ministère de la Santé publique doit déployer des équipes sur le terrain pour sensibiliser la population de manière adéquate.
En effet, le paludisme est une maladie infectieuse tropicale causée par un parasite transmis par la piqûre de certains moustiques (anophèles), et qui provoque des accès de fièvre (typhoïde, chronique, etc.).
À N'Djamena, beaucoup de personnes se soignent elles-mêmes, sans consulter de médecin. Pourtant, elles ne sont ni médecins, ni infirmiers. La meilleure approche consiste à consulter un professionnel de la santé pour obtenir un diagnostic et des médicaments appropriés.
Achta Kelly, médecin à l'hôpital Tchad-Chine, a affirmé : "Le paludisme peut être grave et même entraîner la mort s'il n'est pas bien traité. C'est une maladie infectieuse potentiellement mortelle, mais il est possible de s'en protéger et de guérir. Elle est contractée suite à la piqûre d'un moustique femelle infecté."
Où se développe le paludisme dans le corps ?
Une fois dans le sang, le parasite se dirige vers les cellules du foie pour s'y multiplier. Les nouveaux micro-organismes ainsi produits attaquent ensuite les globules rouges, où ils se multiplient à nouveau. Cette infection finit par détruire les cellules sanguines.
Comment reconnaître le paludisme ?
Le paludisme peut se manifester par des maux de tête, des douleurs musculaires, une faiblesse générale, des nausées, des vomissements et parfois de la diarrhée. Les cycles de la maladie alternent entre des phases de fièvre et des phases de tremblements, de sueurs froides, de transpiration intense et de somnolence. La périodicité de ces cycles dépend du type de parasite en cause et coïncide avec sa multiplication et l’éclatement des globules rouges, a-t-elle expliqué.
Il est essentiel de veiller à ce que l'environnement soit propre, car le paludisme se développe dans des environnements insalubres. Pour se protéger, il est recommandé d'utiliser des barrières physiques, comme les moustiquaires imprégnées d'insecticides. Les femmes, en particulier, veillent à ce que ces mesures soient appliquées à la maison.
Par ailleurs, il est nécessaire que le gouvernement prenne certaines mesures pour aider la population en sensibilisant les citoyens aux risques du paludisme. Le ministère de la Santé publique doit déployer des équipes sur le terrain pour sensibiliser la population de manière adéquate.