Dans le cadre de ses activités, l’Office National de Sécurité Routière (ONASER) a organisé, ce mercredi 3 juillet 2025, un atelier de validation des rapports statistiques portant sur les accidents de la circulation survenus en 2022, 2023 et 2024 à N’Djamena. La rencontre s’est tenue à la Bibliothèque nationale.
Prenant la parole à cette occasion, Djinamon Fanga Emmanuel, directeur de l’analyse et des enquêtes, a déclaré : « Comme vous le savez, aucune politique publique sérieuse ne peut être élaborée, suivie ou évaluée sans des données de qualité. »
C’est dans cette optique que l’ONASER, en sa qualité d’acteur majeur de la prévention des accidents de la route, accorde une importance capitale à la collecte, à l’analyse et à la diffusion de données statistiques fiables et actualisées. Cette démarche s’inscrit en droite ligne avec la vision du président de la République, chef de l’État, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, en matière de réduction du taux d’accidents de la circulation dans le pays.
L’objectif principal de cet atelier est d’examiner de manière critique et constructive, les rapports produits sur les accidents recensés à N’Djamena durant les trois dernières années.
Selon Djinamon Fanga Emmanuel, cette rencontre offre l’opportunité, grâce aux différentes contributions, d’évaluer la méthodologie utilisée, de discuter des résultats, et surtout de recueillir des observations et suggestions permettant d’améliorer tant le fond que la forme de ces rapports.
Les données à examiner et valider ne sont pas exclusivement issues du travail de l’ONASER, mais résultent également d’un effort conjoint avec la Police nationale, la Gendarmerie nationale, les Centres Hospitaliers Universitaires (CHU) et d’autres structures sanitaires. Chaque acteur a contribué à la collecte, et il est essentiel de saluer cette collaboration.
Djinamon Fanga Emmanuel a profité de l’occasion pour encourager tous les corps concernés, notamment la Police et la Gendarmerie nationales, à renforcer leur partenariat avec l’ONASER en transmettant de manière régulière et exhaustive les données issues des constats d’accidents. « Merci une fois de plus pour votre engagement et votre disponibilité », a-t-il conclu.
Prenant la parole à cette occasion, Djinamon Fanga Emmanuel, directeur de l’analyse et des enquêtes, a déclaré : « Comme vous le savez, aucune politique publique sérieuse ne peut être élaborée, suivie ou évaluée sans des données de qualité. »
C’est dans cette optique que l’ONASER, en sa qualité d’acteur majeur de la prévention des accidents de la route, accorde une importance capitale à la collecte, à l’analyse et à la diffusion de données statistiques fiables et actualisées. Cette démarche s’inscrit en droite ligne avec la vision du président de la République, chef de l’État, le Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, en matière de réduction du taux d’accidents de la circulation dans le pays.
L’objectif principal de cet atelier est d’examiner de manière critique et constructive, les rapports produits sur les accidents recensés à N’Djamena durant les trois dernières années.
Selon Djinamon Fanga Emmanuel, cette rencontre offre l’opportunité, grâce aux différentes contributions, d’évaluer la méthodologie utilisée, de discuter des résultats, et surtout de recueillir des observations et suggestions permettant d’améliorer tant le fond que la forme de ces rapports.
Les données à examiner et valider ne sont pas exclusivement issues du travail de l’ONASER, mais résultent également d’un effort conjoint avec la Police nationale, la Gendarmerie nationale, les Centres Hospitaliers Universitaires (CHU) et d’autres structures sanitaires. Chaque acteur a contribué à la collecte, et il est essentiel de saluer cette collaboration.
Djinamon Fanga Emmanuel a profité de l’occasion pour encourager tous les corps concernés, notamment la Police et la Gendarmerie nationales, à renforcer leur partenariat avec l’ONASER en transmettant de manière régulière et exhaustive les données issues des constats d’accidents. « Merci une fois de plus pour votre engagement et votre disponibilité », a-t-il conclu.