Dans le souci de prévenir et de lutter contre les inondations dans la commune du 1er arrondissement, le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD) au Tchad, en partenariat avec le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Urbanisme et de l'Habitat a organisé le 2 juillet 2025, la cérémonie officielle de remise des équipements (râteaux, pelles, motopompes, gants, barres à mine, outils de sensibilisation), au maire de la commune du 1er arrondissement de la capitale.
La remise de ces équipements vise à renforcer la capacité des communautés locales à faire face aux inondations récurrentes qui affectent plusieurs quartiers de la capitale tchadienne. Elle s'inscrit dans le cadre des activités du Projet PILIER (Projet Intégré de Lutte contre les Inondations et de Renforcement de la Résilience Urbaine), dans la ville de N’Djamena.
Les matériels remis seront mis à la disposition des jeunes et leaders communautaires, afin de leur permettre d’anticiper et de mieux répondre aux crues pluviales et fluviales. Ils serviront également à ouvrir les canaux de drainage, et à sensibiliser les populations aux comportements préventifs en période de crise.
La cérémonie a rassemblé le maire du 1er arrondissement, Djamal Yaya Moussa, les délégués des quartiers, les chefs de carrés, les représentants des associations des jeunes, ainsi que divers partenaires techniques. Tous ont salué cette initiative comme une réponse concrète à la vulnérabilité croissante de nombreux quartiers face aux inondations, notamment Miskiné, Mélezi, Djougoulier dans le 1er arrondissement ou encore Digo, Atrone, et Boutalbagar dans le 7ème arrondissement de la capitale.
Selon le représentant du PNUD, Alladoum kanika, il s’agit d’un processus participatif qui implique les associations locales, les chefs de quartiers et les comités de gestion dans une dynamique durable de résilience communautaire. « Ce projet va au-delà de la simple distribution de matériels », a déclaré le représentant du (PNUD).
Le projet PILIER se présente ainsi comme un modèle de gouvernance locale orienté vers la protection des populations, la cohésion sociale et le développement d’une économie locale plus résiliente. Les travaux d’intérêt communautaire qu’il engendre sont autant d’opportunités de création d’emplois et de renforcement du tissu social.
Le représentant du PNUD, Alladoum kanika a tenu à exprimer sa gratitude envers la Banque mondiale, partenaire stratégique du PNUD, pour son appui constant, tout en appelant les bénéficiaires à s’approprier ces équipements, et à participer activement à la mise en œuvre des activités prévues.
« Ensemble, nous pouvons faire de N’Djamena une ville plus sûre, plus résiliente et plus unie », a-t-il conclu. Très touché par ce geste, le maire de la commune du 1er arrondissement, Djamal Yaya Moussa a salué l'effort déployés par le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), en dotant la commune du 1er arrondissement, notamment les associations des quartiers Milezi et Djougoulier en équipements, en vue de faire face aux récurrentes inondations pluviales fluviales.
Il a exhorté les délégués des quartiers, ainsi qu'aux associations, à veiller à ce que ces matériels soient utilisés à bon usage. Enfin, iI a souligné également l'importance de cet appui technique, tout en indiquant que la lutte contre les inondations est une lutte collective.
La remise de ces équipements vise à renforcer la capacité des communautés locales à faire face aux inondations récurrentes qui affectent plusieurs quartiers de la capitale tchadienne. Elle s'inscrit dans le cadre des activités du Projet PILIER (Projet Intégré de Lutte contre les Inondations et de Renforcement de la Résilience Urbaine), dans la ville de N’Djamena.
Les matériels remis seront mis à la disposition des jeunes et leaders communautaires, afin de leur permettre d’anticiper et de mieux répondre aux crues pluviales et fluviales. Ils serviront également à ouvrir les canaux de drainage, et à sensibiliser les populations aux comportements préventifs en période de crise.
La cérémonie a rassemblé le maire du 1er arrondissement, Djamal Yaya Moussa, les délégués des quartiers, les chefs de carrés, les représentants des associations des jeunes, ainsi que divers partenaires techniques. Tous ont salué cette initiative comme une réponse concrète à la vulnérabilité croissante de nombreux quartiers face aux inondations, notamment Miskiné, Mélezi, Djougoulier dans le 1er arrondissement ou encore Digo, Atrone, et Boutalbagar dans le 7ème arrondissement de la capitale.
Selon le représentant du PNUD, Alladoum kanika, il s’agit d’un processus participatif qui implique les associations locales, les chefs de quartiers et les comités de gestion dans une dynamique durable de résilience communautaire. « Ce projet va au-delà de la simple distribution de matériels », a déclaré le représentant du (PNUD).
Le projet PILIER se présente ainsi comme un modèle de gouvernance locale orienté vers la protection des populations, la cohésion sociale et le développement d’une économie locale plus résiliente. Les travaux d’intérêt communautaire qu’il engendre sont autant d’opportunités de création d’emplois et de renforcement du tissu social.
Le représentant du PNUD, Alladoum kanika a tenu à exprimer sa gratitude envers la Banque mondiale, partenaire stratégique du PNUD, pour son appui constant, tout en appelant les bénéficiaires à s’approprier ces équipements, et à participer activement à la mise en œuvre des activités prévues.
« Ensemble, nous pouvons faire de N’Djamena une ville plus sûre, plus résiliente et plus unie », a-t-il conclu. Très touché par ce geste, le maire de la commune du 1er arrondissement, Djamal Yaya Moussa a salué l'effort déployés par le Programme des Nations-Unies pour le Développement (PNUD), en dotant la commune du 1er arrondissement, notamment les associations des quartiers Milezi et Djougoulier en équipements, en vue de faire face aux récurrentes inondations pluviales fluviales.
Il a exhorté les délégués des quartiers, ainsi qu'aux associations, à veiller à ce que ces matériels soient utilisés à bon usage. Enfin, iI a souligné également l'importance de cet appui technique, tout en indiquant que la lutte contre les inondations est une lutte collective.