Selon le chef de mission de Droit de l’Homme Sans Frontières (DHSF) à Pala Tchindebé Donald Tao, une quinzaine d’Officiers de la Police Judicaire bénéficie d’un renforcement des capacités sur l’éthique et la déontologie policière et l’accès à la justice au Tchad, sur l’initiative de Droit de l’Homme Sans Frontières (DHSF), en œuvre dans le cadre du projet Accès Universel au Droit et à la Justice au Tchad, avec l’appui financier du Fond des Nations Unies pour la Démocratie.
Cette formation vise à appuyer les efforts du gouvernement tchadien, en matière de renforcement des capacités des acteurs et institutions de la chaine pénale de Pala.
Pour le gouverneur de la province du Mayo-Kebbi Ouest, Sougour Mahamat Galma, les travaux qui vont se dérouler de manière participative, permettront de contribuer à l’amélioration des connaissances des participants sur le cadre légal des opérations de la police judiciaire, notamment en technique d’enquêtes et de gestion de la scène des crimes.
C’est une occasion pour les Officiers de la Police Judiciaire (OPJ) de revisiter les notions essentielles de droit pénal, de procédure pénale et de rédaction des procès-verbaux, et enfin de s’outiller sur le respect de l’éthique et de la déontologie policière, ainsi que sur les droits de l’homme.
De manière essentielle, le gouverneur dit que ce cadre du donner et du recevoir, rendu possible par DHSF, qui réunit les OPJ, permet aux participants à l’issue des travaux, d’offrir des meilleurs services aux différentes victimes.
« Et nous pensons que chers OPJ, pour contribuer efficacement au maintien de l’ordre et à la protection des droits de l’homme, pendant les opérations d’application des lois, cet atelier doit réussir grâce à votre disponibilité et dans l’intérêt de tous », dit-il.
Cette formation vise à appuyer les efforts du gouvernement tchadien, en matière de renforcement des capacités des acteurs et institutions de la chaine pénale de Pala.
Pour le gouverneur de la province du Mayo-Kebbi Ouest, Sougour Mahamat Galma, les travaux qui vont se dérouler de manière participative, permettront de contribuer à l’amélioration des connaissances des participants sur le cadre légal des opérations de la police judiciaire, notamment en technique d’enquêtes et de gestion de la scène des crimes.
C’est une occasion pour les Officiers de la Police Judiciaire (OPJ) de revisiter les notions essentielles de droit pénal, de procédure pénale et de rédaction des procès-verbaux, et enfin de s’outiller sur le respect de l’éthique et de la déontologie policière, ainsi que sur les droits de l’homme.
De manière essentielle, le gouverneur dit que ce cadre du donner et du recevoir, rendu possible par DHSF, qui réunit les OPJ, permet aux participants à l’issue des travaux, d’offrir des meilleurs services aux différentes victimes.
« Et nous pensons que chers OPJ, pour contribuer efficacement au maintien de l’ordre et à la protection des droits de l’homme, pendant les opérations d’application des lois, cet atelier doit réussir grâce à votre disponibilité et dans l’intérêt de tous », dit-il.