Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, David Houdeingar et le ministre de l’Éducation nationale, Aboubakar Assidick Tchoroma, ont effectué une mini-tournée mercredi dans les centres de correction des copies du baccalauréat et à l’Office national des examens et concours du supérieur (ONECS).
La visite a deux objectifs : constater l’avancement des travaux et rappeler l’observation stricte des mesures sanitaires.
La visite a deux objectifs : constater l’avancement des travaux et rappeler l’observation stricte des mesures sanitaires.
En ce qui concerne le déroulement des travaux, les commissions de correction répondent en chœur : “tout se passe bien’’. “Nous sommes satisfaits car les travaux se déroulent dans la sérénité’’, renchérit le ministre de l’Enseignement supérieur, David Houdeingar.
D’ailleurs, la plupart des correcteurs des disciplines scientifiques principalement, répondent unanimement : “Nous avons fini depuis hier. Nous sommes venus remplir les fiches de correction, nous attendons le gombo’’.
Les copies corrigées sont systématiquement transmises à l’ONECS où elles sont dépouillées. Toutes les copies des centres provinciaux sont acheminées à l’ONECS hormis celles de quatre centres aux confins du nord (environ 700 copies) qui seront reçues “tout au plus demain (ce matin, ndlr) par un vol humanitaire’’, rassurent les responsables de l’instance organisatrice du baccalauréat.
D’ailleurs, la plupart des correcteurs des disciplines scientifiques principalement, répondent unanimement : “Nous avons fini depuis hier. Nous sommes venus remplir les fiches de correction, nous attendons le gombo’’.
Les copies corrigées sont systématiquement transmises à l’ONECS où elles sont dépouillées. Toutes les copies des centres provinciaux sont acheminées à l’ONECS hormis celles de quatre centres aux confins du nord (environ 700 copies) qui seront reçues “tout au plus demain (ce matin, ndlr) par un vol humanitaire’’, rassurent les responsables de l’instance organisatrice du baccalauréat.
Pour ce qui est du respect des mesures sanitaires, l’observance n’est pas totale. “Les correcteurs sont nombreux tels les candidats’’, constate un confrère.
Dans les salles du lycée Ibnou Cina, l’un des centres de correction, certains éducateurs font fi des mesures barrières : le port du masque et la distanciation physique ne sont pas complètement respectés. Par contre à l’Onecs, tous les enseignants portent des visières. Sur des tables, sont disposés des gels hydroalcooliques.
À l’entrée de la grande salle de dépouillement, un géant dispositif de lavage des mains est installé. Toutefois, la crainte de contamination demeure. “Une seule personne atteinte pourra contaminer toutes les autres’’, susurre un officiel.
Dans les salles du lycée Ibnou Cina, l’un des centres de correction, certains éducateurs font fi des mesures barrières : le port du masque et la distanciation physique ne sont pas complètement respectés. Par contre à l’Onecs, tous les enseignants portent des visières. Sur des tables, sont disposés des gels hydroalcooliques.
À l’entrée de la grande salle de dépouillement, un géant dispositif de lavage des mains est installé. Toutefois, la crainte de contamination demeure. “Une seule personne atteinte pourra contaminer toutes les autres’’, susurre un officiel.