Avoir un enfant n'est pas forcément synonyme d'être en couple. Mais ce statut de célibataire, avec un enfant, est assimilé à une personne qui a échoué dans son mariage.
Face à ce préjugé, la majorité des célibataires avec un enfant ont honte de leur statut. Ils sont réduits au silence, et stigmatisés comme le cas des « filles-mères ».
Dans certains curriculums vitæ, ce statut est peu figuré. Pour Bengar Célestin, animateur au centre culturel Koulsy Lamko, « il faut faire la distinction entre mère célibataire et père célibataire.
Au regard de cette société conservatrice comme la nôtre, les mères célibataires sont mal vues. À tel point où beaucoup d'entre elles préfèrent être appelées célibataires tout court », explique-t-il. Sur le marché du mariage ou de la demande d'amitié, les célibataires avec un enfant sont parfois repoussés.
Selon Aziza Farazou, une célibataire avec un enfant, « c'est difficile à comprendre mais des gens n'aiment pas avoir de relations avec moi à cause de mon statut. Peut-être qu’ils ont peur de la prise en charge d'un enfant, qui n'est pas le leur », évoque-t-elle.
En tout cas, au regard de l'évolution sociale, on peut accepter une telle appellation. Même si la société pense le contraire, chacun a son statut social.
Face à ce préjugé, la majorité des célibataires avec un enfant ont honte de leur statut. Ils sont réduits au silence, et stigmatisés comme le cas des « filles-mères ».
Dans certains curriculums vitæ, ce statut est peu figuré. Pour Bengar Célestin, animateur au centre culturel Koulsy Lamko, « il faut faire la distinction entre mère célibataire et père célibataire.
Au regard de cette société conservatrice comme la nôtre, les mères célibataires sont mal vues. À tel point où beaucoup d'entre elles préfèrent être appelées célibataires tout court », explique-t-il. Sur le marché du mariage ou de la demande d'amitié, les célibataires avec un enfant sont parfois repoussés.
Selon Aziza Farazou, une célibataire avec un enfant, « c'est difficile à comprendre mais des gens n'aiment pas avoir de relations avec moi à cause de mon statut. Peut-être qu’ils ont peur de la prise en charge d'un enfant, qui n'est pas le leur », évoque-t-elle.
En tout cas, au regard de l'évolution sociale, on peut accepter une telle appellation. Même si la société pense le contraire, chacun a son statut social.