
En revenant sur les origines du différend, le président de la ligue départementale des taxis-motos, Mbaindiguine Célestin, rejette les accusations portées à leur encontre. Selon lui, les désaccords internes au sein des clandomen ont conduit à cette mise en demeure, en plus de la disparition de deux motos du bureau. De son côté, le chef de canton de Bébédjia, Mara Emmanuel, pointe du doigt une mauvaise gestion dès le début. Parmi les 10 motos attribuées, seulement 8 sont en circulation à Bébédjia. Toutefois, les clandomen ont trouvé un terrain d'entente pour rétablir la situation.
Face à cette situation, il est crucial que les clandomen parviennent à un consensus. En effet, étant donné que les motos n'ont pas circulé depuis un mois et trois jours, il est difficile de déterminer qui en subit le plus grand préjudice.
Face à cette situation, il est crucial que les clandomen parviennent à un consensus. En effet, étant donné que les motos n'ont pas circulé depuis un mois et trois jours, il est difficile de déterminer qui en subit le plus grand préjudice.