
D'abord sur les acquis : le ministre de l'Énergie a précisé "qu'il y a 6 ans, les autorités ont réussi le pari de la permanence de la fourniture de l'électricité". Mais depuis peu, la situation s'est dégradée ' à cause de l'augmentation des besoins et bien d'autres cause connexes", a-t-il expliqué.
Djerassem Le Bemadjiel a souligné que "l'électricité ne doit pas être un luxe". Il a reconnu aux habitants de N'djamena "le droit de demander aux autorités les actions immédiates et pérennes qui réglerons définitivement ce problème".
Sur les difficultés et contraintes actuelles, le n°1 du département de l'énergie a renseigné que ''le besoin actuel de la partie de ville de N'djamena couverte par le réseau électrique (1/3) est de 120 MW".
D'après le ministre, "il faut une capacité de production de 120 MW pour qu'il n'y ait pas de délestage". Mais actuellement la capacité de production dans la ville de N'djamena est de 90MW.
Le PCMT a approuvé "un approvisionnement supplémentaire de 3 citernes de gasoil par jour" permettant de générer les 90 MW. Ainsi donc, d'après le ministre, "toute la capacité de production de la ville de N'djamena est mobilisée" mais ''il manque 30MW pour couvrir la ville, d'où les délestages irréductibles que nous avons actuellement", se désole le ministre de l'Énergie.
La ville de N'djamena est donc confrontée non plus "à un manque de carburant" mais plutôt à "un dépassement de ses capacités de production existantes", a indiqué le ministre.
Une situation portée à "la connaissance du PCMT" a confié le ministre. Le PCMT "a approuvé immédiatement la solution d'urgence de faire venir 30MW pouvant être opérationnels en quelques semaines", a précisé le chef du département de l'énergie. La SNE "travaille donc d'arrache-pied pour amener sa capacité de production au dessus de la demande de la ville", a annoncé le ministre.
Abordant les mesures mises sur pied par les autorités de N'djamena en vue de résorber ce problème de l'électricité, le ministre a signalé ''l'approbation par le PCMT du plan de construction sur fond propres d'une centrale photovoltaïque de 50 MW dans les 6 mois à venir''.
Une mesure d'urgence qui fait place à la compétence nationale devant l'échec des nombreux protocoles signés avec les firmes étrangères et qui n'ont "jamais abouti en 10 ans", a révélé le ministre.
Des solutions et mesures qui s'étalent d'abord sur un échiquier à court terme. Ici explique le ministre, "il sera question de s'assurer que la capacité de production de la SNE soit au minimum de 5 ans au dessus du besoin actuel" et sur le long terme "sortir progressivement de l'utilisation du gasoil comme carburant officiel au profit du fioul lourd moins onéreux et intégrer l'action des énergies renouvelables".
D'autres solutions sont aussi envisagées notamment "celles basées sur le photovoltaïque avec des partenaires étrangers sérieux" car l'objectif actuel n'est pas seulement de couvrir les besoins des ménages mais aussi les futurs besoins des industriels".
Djerassem Le Bemadjiel a souligné que "l'électricité ne doit pas être un luxe". Il a reconnu aux habitants de N'djamena "le droit de demander aux autorités les actions immédiates et pérennes qui réglerons définitivement ce problème".
Sur les difficultés et contraintes actuelles, le n°1 du département de l'énergie a renseigné que ''le besoin actuel de la partie de ville de N'djamena couverte par le réseau électrique (1/3) est de 120 MW".
D'après le ministre, "il faut une capacité de production de 120 MW pour qu'il n'y ait pas de délestage". Mais actuellement la capacité de production dans la ville de N'djamena est de 90MW.
Le PCMT a approuvé "un approvisionnement supplémentaire de 3 citernes de gasoil par jour" permettant de générer les 90 MW. Ainsi donc, d'après le ministre, "toute la capacité de production de la ville de N'djamena est mobilisée" mais ''il manque 30MW pour couvrir la ville, d'où les délestages irréductibles que nous avons actuellement", se désole le ministre de l'Énergie.
La ville de N'djamena est donc confrontée non plus "à un manque de carburant" mais plutôt à "un dépassement de ses capacités de production existantes", a indiqué le ministre.
Une situation portée à "la connaissance du PCMT" a confié le ministre. Le PCMT "a approuvé immédiatement la solution d'urgence de faire venir 30MW pouvant être opérationnels en quelques semaines", a précisé le chef du département de l'énergie. La SNE "travaille donc d'arrache-pied pour amener sa capacité de production au dessus de la demande de la ville", a annoncé le ministre.
Abordant les mesures mises sur pied par les autorités de N'djamena en vue de résorber ce problème de l'électricité, le ministre a signalé ''l'approbation par le PCMT du plan de construction sur fond propres d'une centrale photovoltaïque de 50 MW dans les 6 mois à venir''.
Une mesure d'urgence qui fait place à la compétence nationale devant l'échec des nombreux protocoles signés avec les firmes étrangères et qui n'ont "jamais abouti en 10 ans", a révélé le ministre.
Des solutions et mesures qui s'étalent d'abord sur un échiquier à court terme. Ici explique le ministre, "il sera question de s'assurer que la capacité de production de la SNE soit au minimum de 5 ans au dessus du besoin actuel" et sur le long terme "sortir progressivement de l'utilisation du gasoil comme carburant officiel au profit du fioul lourd moins onéreux et intégrer l'action des énergies renouvelables".
D'autres solutions sont aussi envisagées notamment "celles basées sur le photovoltaïque avec des partenaires étrangers sérieux" car l'objectif actuel n'est pas seulement de couvrir les besoins des ménages mais aussi les futurs besoins des industriels".